Mot de l'éditeur :
Une fabuleuse histoire d’amour, d’amitié et de vie.
À l’été 1989, Caroline, David et Christian avaient douze ans et des envies plein la tête.
À présent, Caroline, la quarantaine, semble être une femme accomplie. Pourtant, son monde et ses certitudes vacillent lorsque son ancien ami la contacte pour lui annoncer l’enterrement de David dans le village de leur enfance.
Trente ans qu’elle en est partie et qu’elle s’emploie à oublier ce qui s’y est déroulé. Trente ans qu’elle a laissé ses rêves de petite fille sur le bas-côté de la route... Que penserait la fillette qu’elle était de l’adulte qu’elle est devenue ?
Caroline doit aujourd’hui affronter son passé et ses douleurs...
Il n’est jamais trop tard pour être heureux.
Après le succès de ses précédents romans, Charlie Wat revient avec un texte lumineux, tout en délicatesse et sensibilité.
Une histoire bouleversante, douce comme un coucher de soleil en été. Un hymne à l’amour, à l’amitié et à la vie.
À l’été 1989, Caroline, David et Christian avaient douze ans et des envies plein la tête.
À présent, Caroline, la quarantaine, semble être une femme accomplie. Pourtant, son monde et ses certitudes vacillent lorsque son ancien ami la contacte pour lui annoncer l’enterrement de David dans le village de leur enfance.
Trente ans qu’elle en est partie et qu’elle s’emploie à oublier ce qui s’y est déroulé. Trente ans qu’elle a laissé ses rêves de petite fille sur le bas-côté de la route... Que penserait la fillette qu’elle était de l’adulte qu’elle est devenue ?
Caroline doit aujourd’hui affronter son passé et ses douleurs...
Il n’est jamais trop tard pour être heureux.
Après le succès de ses précédents romans, Charlie Wat revient avec un texte lumineux, tout en délicatesse et sensibilité.
Une histoire bouleversante, douce comme un coucher de soleil en été. Un hymne à l’amour, à l’amitié et à la vie.
Dealer : Bibliothèque de Sibiril
Ma lecture :
Caroline, quadragénaire expatriée à Boston depuis son adolescence mène une brillante carrière d'avocate en droit des familles. Lorsqu'elle reçoit un e-mail contenant une photo de son enfance. Sa carapace glisse et ses souvenirs affluent. Va-t-elle revenir en France et assumer ses souvenirs, jusqu'à, pourquoi pas, leur ouvrir sa porte ?
Ou effacera-t-elle cet e-mail, et avec lui, tous ses souvenirs et tout retour possible en France ?
Sur cette photo d'un article de presse de 1989, posent fièrement des garçons et une fille en tenues de football. Ils viennent de gagner leur match. et ce que ne sait pas la petite fille, c'est que dans quelques heures, elle sera dans un avion, direction les Etats-Unis.
Et Caroline, des années plus tard, ne veut pas revivre ce déchirement à sa terre, à sa famille, à ses amis. Elle les a tous oubliés. Ou du moins le croyait-elle. Le coeur, même abîmé, n'oublie pas.
La voilà donc qui prend l'avion. Direction son passé. Ses douleurs, et ses fleurs jaunes.
Ou effacera-t-elle cet e-mail, et avec lui, tous ses souvenirs et tout retour possible en France ?
Sur cette photo d'un article de presse de 1989, posent fièrement des garçons et une fille en tenues de football. Ils viennent de gagner leur match. et ce que ne sait pas la petite fille, c'est que dans quelques heures, elle sera dans un avion, direction les Etats-Unis.
Et Caroline, des années plus tard, ne veut pas revivre ce déchirement à sa terre, à sa famille, à ses amis. Elle les a tous oubliés. Ou du moins le croyait-elle. Le coeur, même abîmé, n'oublie pas.
La voilà donc qui prend l'avion. Direction son passé. Ses douleurs, et ses fleurs jaunes.
Je ne connaissais pas Charlie Wat, mais pour la bibliothèque dont je m’occupe, je voulais faire découvrir des romans auto-édités. La plume de l'auteur est à multiples facettes : elle sait être drôle (le poisson rouge qui pète des paillettes, ça m'a fait ma journée) et sensible au service de l'émotion sans jamais tomber dans le pathos.
Toujours en été parle de résilience, de blessures intérieures à soigner, de ces sentiments que même une carapace ne peut altérer. C'est le message que je retiens de ma lecture : la force des sentiments d'attachement, même reniés, même abîmés.
Toujours en été parle de résilience, de blessures intérieures à soigner, de ces sentiments que même une carapace ne peut altérer. C'est le message que je retiens de ma lecture : la force des sentiments d'attachement, même reniés, même abîmés.
Une belle découverte, donc, pour ce roman choisi au hasard, attirée par cette couverture jaune (mais rassurée par son millier de commentaires ^^).
Avis des lecteurs:
Et vous, qu'en pensez-vous ?