lundi 31 août 2020

La Bredoute

La Bredoute Fabcaro BD humour parodie avis chronique critique blog

La Bredoute,

Fabcaro,
Ed. 6 pieds sous terre, 2016


Mot de l'éditeur :

La Bredoute est votre nouveau catalogue de vente par correspondance, pour la maison, le jardin et les voyages, pour vous mesdames, mais aussi pour vous messieurs. Et pour les enfants. N'hésitez pas non plus à consulter nos pages bricolage ou électro-ménager. Toutes les nouvelles tendances, les accessoires "malins" qui feront de vous des femmes modernes, des hommes à la page et des enfants choyés. Consommez en toute sérénité, grâce à nos prix "charisme" où "Coolcool" pour les meilleurs instants "plaisirs" de votre vie pleine de bonheur, d'objets originaux et tellement bien conçus. La vie est belle avec nous comme entre vous et l'avenir vous appartient également...
Reboot plus que simple réédition du premier livre de Fabcaro publié chez 6 Pieds sous terre en 2007, cette nouvelle mouture de La Bredoute gagne 8 pages, de la couleur et change de présentation afin de vous offrir une nouvelle saison printemps/hiver de votre catalogue préféré d'objets malins et décomplexés.


Dealer : Gibert Joseph, Tououse


Ma lecture :

On ne présente plus l'humour potache et décalé de Fabcaro. Au fil de ses bandes-dessinées ou de ses romans, je ne m'en lasse pas. Dans La Bredoute, il parodie un catalogue de vente par correspondance, vous devinerez lequel ;) Des casseroles au maillot de bain, en passant par la tête à coiffer, Fabcaro détourne tous les objets du catalogue et les décore d'une présentation quelque peu...originale.
C'est bon, c'est fin, on rit sans fin !

dimanche 30 août 2020

Les roses fauves

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Les roses fauves,

Carole Martinez,
Ed. Gallimard, 2020


Mot de l'éditeur :

"Peu après la sortie de mon premier roman, Le cœur cousu, une lectrice m'a raconté une coutume espagnole dont j'ignorais l'existence : dans la sierra andalouse où étaient nées ses aïeules, quand une femme sentait la mort venir, elle brodait un coussin en forme de cœur qu'elle bourrait de bouts de papier sur lesquels étaient écrits ses secrets. A sa mort, sa fille aînée en héritait avec l'interdiction absolue de l'ouvrir. J'ai métamorphosé cette lectrice en personnage. Lola vit seule au-dessus du bureau de poste où elle travaille, elle se dit comblée par son jardin. Dans son portefeuille, on ne trouve que des photos de ses fleurs et, dans sa chambre, trône une armoire de noces pleine des cœurs en tissu des femmes de sa lignée espagnole. Lola se demande si elle est faite de l'histoire familiale que ces cœurs interdits contiennent et dont elle ne sait rien. Sommes-nous écrits par ceux qui nous ont précédés ? Il faudrait déchirer ces cœurs pour le savoir. "

 

Dealer : Livres in room, Saint-Pol-de-Léon


Ma lecture :

Qu'il est grisant de profiter de la Rentrée Littéraire pour découvrir de nouveaux auteurs ! Et non, je n'avais jamais encore lu Carole Martinez.  C'est chose faite !

jeudi 27 août 2020

Tout va me manquer

Tout ma me manquer Juliette Adam rentrée littéraire 2020 Fayard avis critique chronique blog adolescence folie

Tout va me manquer,

Juliette Adam,
Ed. Fayard, 2020

 

Mot de l'éditeur :

Etienne s’ennuie. Dans le magasin de jouets où  il travaille, dans l’appartement où  il vit avec son grand-père, dans cette petite ville où  il n’y a jamais rien à  faire. Partout, il promène sa solitude, et se demande s’il n’est pas en train de passer à  côté  de sa vie. Alors, lorsqu’il se fait frapper par erreur par une inconnue au cœur d’un carnaval, il y voit un signe. Quelque chose se produit enfin. Quelqu’un l’attend quelque part.
Elle s’appelle Chloé. Inflammable, imprévisible, elle est de celles qu’on ne peut pas vraiment cerner. Qui ne se laissent pas approcher. Constamment à  deux doigts d’imploser. Maladroit et rêveur, Etienne n’a jamais vraiment su comment aborder une fille. Pourtant, ils vont se tourner autour. Et, dans un curieux mélange de fantaisie et de noirceur, faire un bout de chemin ensemble.

 

Dealer : Livres in room, Saint-Pol-de-Léon

 

Ma lecture :

Inconditionnelle d'Olivier Adam et de Karine Reysset, j'étais curieuse de découvrir le roman de leur fille, Juliette. Juliette Adam, tout juste 18 ans signe son premier roman. Les chiens ne font pas des chats ?

mercredi 26 août 2020

Tout le bleu du ciel

Tout le bleu du ciel Melissa Da Costa Road trip combi camping car alzheimer avis chronique critique blog coup de coeur

Tout le bleu du ciel,

Mélissa Da Costa,
Ed. Carnets Nord, 2019

Mot de l'éditeur :

Petitesannonces.fr : Jeune homme de 26 ans, condamné à une espérance de vie de deux ans par un Alzheimer précoce, souhaite prendre le large pour un ultime voyage. Recherche compagnon(ne) pour partager avec moi ce dernier périple.
Émile a décidé de fuir l’hôpital, la compassion de sa famille et de ses amis. À son propre étonnement, il reçoit une réponse à cette annonce. Trois jours plus tard, devant le camping-car acheté secrètement, il retrouve Joanne, une jeune femme coiffée d’un grand chapeau noir qui a pour seul bagage un sac à dos, et qui ne donne aucune explication sur sa présence.
Ainsi commence un voyage stupéfiant de beauté. À chaque détour de ce périple naissent, à travers la rencontre avec les autres et la découverte de soi, la joie, la peur, l’amitié, l’amour qui peu à peu percent la carapace de douleurs d’Émile.



Dealer :
Offert par une amie avant le roadtrip estival ;) Merci !


Ma lecture :

Ce livre me faisait de l’œil depuis sa sortie l'année dernière à cause de sa jolie couverture agrémentée d'un combi. Il n'en fallait pas plus pour attiser ma curiosité ! Mais le résumé m'attirait moins, il me semblait collant de guimauve.
Bref, l'amie qui me l'a offert a eu une bonne idée qui m'a permis de sauter le pas !

lundi 24 août 2020

Le coeur de Rhedae

Le coeur de Rhedae,

Christelle Rousseau,
Les presses littéraires, 2017

Mot de l'éditeur :

"Elle est sortie de sa rêverie par quelqu'un qui prend place à côté d'elle. Maddy tourne la tête et découvre une vieille dame. Habillée tout en noir, un fichu noir lui aussi lui couvre ses cheveux blancs, son visage fripé dégage une sorte de sérénité. L'aspect général de cette grand-mère donne l'impression à Maddy qu'elle arrive d'un autre siècle. La jeune femme lui sourit timidement. Il y a quelque chose d'extrêmement triste dans le regard de sa voisine. La mamie lui sourit en retour tout en portant les mains à son cou. Elle ôte une chaîne sur laquelle pend un médaillon en forme de coeur. Un coeur tout en rondeurs, creux à l'intérieur formé d'arabesques finement travaillées. En son centre une rose ornée d'une petite pierre précieuse. - Prends-le ma fille, c'est la clé. Tu en es la gardienne maintenant. La vieille femme se lève péniblement du banc improvisé, sourit de nouveau à Maddy. Cette dernière regarde sans comprendre le pendentif et lorsqu'elle lève les yeux, la grand mère a disparu, comme évaporée."
Ce mystérieux bijou va entraîner la jeune femme, dans une quête de la vérité et de ce que cache Rennes le Château.



Dealer : Librairie de Rennes-le-Chateau


Ma lecture :


La route de mes vacances serpentant autour de Rennes-le-Château, j'ai eu envie de m'y arrêter.
Connaissez-vous le mystère autour de ce petit village occitan ? L'histoire de cet abbé, l'abbé Saunière qui, en rénovant son église trouve des parchemins et s'enrichit mystérieusement à la fin du 19ème siècle ? Il aurait trouvé un trésor, ou du moins une partie d'un trésor qui émoustille tous les curieux. Le mystère de sa fortune soudaine reste entier et Rennes-le-Chateau est ainsi devenue terre de mystères et l'Eglise y interdit toute fouille...
Ce n'est pas non plus un hasard si Dan Brown a choisi Saunière pour nommer un de ses personnages dans le Da Vinci Code...

mercredi 19 août 2020

La commode aux tiroirs de couleurs

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La commode aux tiroirs de couleurs,

Olivia Ruiz,
Ed. JC Lattès, 2020


Mot de l'éditeur :

À la mort de sa grand-mère, une jeune femme hérite de l’intrigante commode qui a nourri tous ses fantasmes de petite fille. Le temps d’une nuit, elle va ouvrir ses dix tiroirs et dérouler le fil de la vie de Rita, son Abuela, dévoilant les secrets qui ont scellé le destin de quatre générations de femmes indomptables, entre Espagne et France, de la dictature franquiste à nos jours.

 

Ma lecture : 

Je connais Olivia Ruiz depuis ses débuts dans la chanson il y a une vingtaine d'années, mais je l'avais un peu oubliée. J'étais curieuse de découvrir son roman et l'interview que j'avais entendu d'elle à ce propos avait, de plus belle, éveillé ma curiosité. La commode aux tiroirs de couleurs aborde l'exil des réfugiés espagnols des années 30...

lundi 17 août 2020

Le coeur se souvient

Le cœur se souvient,

Anaïs Weibel,
Autoédition, 2020


Mot de l'éditeur :

À l’aube de ses trente ans, Amelia s’épanouit dans sa vie professionnelle, entourée d’une famille aimante. La découverte d’un secret, alors qu’elle aide ses parents à déménager, va chambouler cet équilibre : la mémoire du cœur s’éveille et elle ne peut plus ignorer ses origines qu’elle reniait jusqu’à maintenant.
Amelia décide alors de tout plaquer pour se lancer à la recherche de la seule personne qui pourra lui apporter les réponses à ses questions… de l’autre côté de l’Atlantique.
Mais arrivera-t-elle au bout de ce chemin, saine et sauve ? N’est-il pas déjà trop tard ?



Dealer : Partenariat relecture/correction/promotion :)


Ma lecture :

Dans son nouveau roman, Anaïs Weibel nous emmène dans un road-trip à travers les Etats-Unis et au cœur d’une histoire familiale poignante.
Amelia, la trentaine, a vécu une enfance heureuse entourée de parents aimants, dans un pavillon de la région parisienne. Pourtant, sa vie bascule à l’âge de 16 ans où elle apprend qu’elle a été adoptée au Venezuela une douzaine d’années plus tôt. Elle traverse alors une sérieuse crise identitaire. L’adolescence passée, elle retrouve les rennes de sa vie…
Quelques années plus tard, sa crise identitaire, loin derrière elle, refait surface lorsqu’elle découvre par hasard qu’un frère l’attend et la recherche : Antonio. Des questions la taraudent : d’où vient-elle ? Qui est-elle vraiment ? Qui est son frère ?
Il devient son obsession et la jeune fille n’hésite pas une seconde : elle va partir à sa recherche. Une piste ? Une carte postale envoyée un an plus tôt de Boston.

Boston, point de départ d’un incroyable road-trip à la recherche de son frère. Au fil des pages, la tension s’accentue, le rythme s’accélère. Antonio est difficile à retrouver, les pistes qu’explore Amelia ne sont fructueuse et les témoins restent souvent silencieux. Qui est vraiment Antonio ? Pourquoi se cache-t-il ? N’aurait-elle pas mieux faire de rester à Paris ?
Dans sa quête, deux collègues restés en France l’aident de leur mieux en faisant des recherches sur Internet en parallèle. Les amitiés se consolident ou dévient vers d’autres sentiments. Amelia subit de plein fouet une nuée d’émotions : doute, espoir, reconnaissance, amour, … En plein quête, en plein recherche identitaire, la voilà bientôt submergée. Son road-trip américain dure plus longtemps que prévu, elle vadrouille de pistes en pistes, de Boston à Cleveland, puis Toledo, Memphis, Dallas, … Antonio ne laisse que peu de traces et l’espoir de le retrouver s’amenuise de jours en jours. Seul un ange gardien pourrait l’aider à y voir plus clair…

Anaïs Weibel n’est pas une auteur de feel-good mais une auteur de romans réalistes avec des personnages malmenés par la vie et plutôt du genre… bruts de décoffrage.  Pourtant, Amelia a tout d’une héroïne feel-good : dévastée par sa crise identitaire, elle va trouver la force en elle et autour d’elle pour renaître de ses cendres. Retrouvera-t-elle son frère ? Le plus important est aussi qu’elle se retrouve, elle, avant de sombrer. Elle se pose beaucoup de questions liées à son adoption : pourquoi a-t-elle eu une vie heureuse et confortable alors que son frère est resté dans les favelas de Caracas, submergé par la misère et l’insalubrité ?
La vie est faite d’épreuve qu’il faut surmonter, faute de se laisser couler. Les personnages d’Anaïs Weibel, Amelia, Antonio, Quentin et Myriam devront se battre pour être en phase avec eux-mêmes et retrouver le sens de la vie.

Le cœur se souvient est un roman poignant sur l’identité, la famille et l’amitié. Poignant, car Anaïs Weibel ne va pas de main morte avec eux, au contraire, c’est avec une véritable poigne qu’elle joue avec eux. Les personnages subissent en effet des épreuves difficiles qui les feront sombrer ou les rendront plus forts. Les questions autour de l’identité sont également bien menées, c’est bien là la problématique centrale du roman. Qui suis-je vraiment ? Qui je veux paraître pour les autres ?
Le côté road-trip était vraiment haletant, Anaïs Weibel s’est bien documentée sur les villes américaines parcourues, que ce soit en avion ou en voiture de location. J’ai des images plein la tête ! Le suspens et la course contre la montre ont été parfaitement maîtrisés, ce qui a fait de ce roman, à partir d’un certain moment, un véritable page-turner. A l’américaine, évidemment !
Ce fut aussi un plaisir de retrouver certains personnages de Juste Puni et d’avoir de leurs nouvelles, comme de vieux amis. Une manière de se rendre compte de l’impact des personnages, des histoires rencontrés dans nos lectures…

En tant que relectrice et correctrice, mon avis est-il juste ? C’est ce que je souhaite, en tout cas.Et je peux vous dire que ce roman m’a emballée par ses côtés road-trip et quête identitaire.
Prêts à embarquer pour Boston ? Méfiez-vous, vous n’en reviendrez pas indemne !





Ma chronique est terminée,
        mais j'aimerai vous demander une chose...

 

Anaïs Weibel publie ses romans en auto-édition, c'est-à-dire toute seule. Elle n'a pas de visibilité dans les librairies ou dans les magazines littéraires. Ses campagnes de pub' se font via les blogs et réseaux sociaux, et par les salons littéraires qu'elle commence à intégrer peu à peu. Vous ne trouverez pas Le cœur se souvient chez votre libraire habituel, mais vous pouvez le commander sur Internet.
Avez-vous déjà lu ou acheté un roman en auto-édition ? C'est le moment, les amis ! Vous aviez peut-être déjà acheté L'espoir au corps ou
Juste Puni l'année dernière, pourquoi ne pas renouveler l'expérience ?
Il vaut 17€, 17€ pour encourager une jeune auteur :)
Pour la cinquième fois, je suis partenaire d'un roman, de l'écriture à la vente, l'aventure est extraordinaire et je ne souhaite qu'une chose, que ce roman d'Anaïs Weibel trouve le succès escompté !

Du 17 au 31 août, nous nous lançons dans une prévente exceptionnelle, profitez-en pour commander grâce à ce lien unique !

samedi 15 août 2020

Victor Kessler n'a pas tout dit

Victor Kessler n'a pas tout dit Cathy Bonidan lecture coup de coeur avis chronique blog
Victor Kessler n'a pas tout dit,

Cathy Bonidan,
Ed. La Martinière, 2020


Mot de l'éditeur :

La brume des Vosges cache bien des secrets. Bertille le sait : elle les a fuis. Retranchée à Paris dans une vie solitaire, la jeune femme a enterré ses souvenirs. Jusqu'au jour où sa vie bascule. Quelques pages trouvées dans le cabas d'un vieil homme la réveillent d'un coup : il s'agit d'une confession, écrite par un certain Victor Kessler. Car le 17 novembre 1973, quarante-cinq ans plus tôt, le corps d'un enfant de dix ans a été repêché dans un lac près de Saintes-Fosses. L'instituteur du village est le coupable idéal : Victor Kessler, lui-même.
Fascinée par l'affaire, poussée par Victor, Bertille part en quête de la vérité. Mais, à la recherche des démons du vieil homme, ne finira-t-elle pas par croiser les siens, enfouis dans les forêts vosgiennes ? Et toujours cette même question : parler ou se taire ?


Dealer : SP de Cathy Bonidan, merci encore !


Ma lecture :

J'étais ravie de recevoir le nouveau roman de Cathy Bonidan, étant déjà séduite par les précédents. A chaque roman elle se réinvente et propose un univers tout à fait différent.

vendredi 14 août 2020

La maison du lac

La maison du lac,

Hannah Richell,
Ed. Belfond, 2015
(The shadow year)


Mot de l'éditeur :

Dans la tradition des œuvres de Daphné Du Maurier, un roman nimbé de mystère et d'émotion, un suspense psychologique envoûtant pour aborder la jalousie, le désir et les liens du sang.
Pour Lila, tout commence par un paquet déposé sur le pas de sa porte. À l'intérieur, un plan et la clé d'un cottage abandonné près d'un lac. Le legs d'un parent inconnu, une surprise qui ne pouvait pas mieux tomber.
Car, à trente ans, la Londonienne traverse une période douloureuse : une tragédie familiale impossible à cicatriser, un mariage au bord de l'implosion, une carrière au point mort. Le moment est venu pour elle de prendre du recul, loin de la ville, loin des siens.
Mais, alors qu'elle prend possession des lieux, Lila va découvrir peu à peu l'histoire de ses anciens occupants, cinq étudiants venus vivre ici clandestinement en 1980. Qui étaient-ils? Pourquoi ont-ils fui en laissant tout derrière eux ? Et d'où lui vient cette étrange impression que quelque chose la lie à leur destin ?
​Dans la maison du lac, de lourds secrets sommeillent. Des secrets aux conséquences inattendues, et dont les répercussions pourraient changer la vie de Lila, à jamais...

 

Ma lecture :

J'ai découvert Hannah Richell il y a quelques mois après avoir lu Rebecca, de Daphné du Maurier. J'aime beaucoup ces romans psychologiques anglais emprunts de mystères et de vieilles pierres où les auteurs n'hésitent pas à torturer les âmes de leurs personnages...et de leurs lecteurs...

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