tag:blogger.com,1999:blog-11945467243178079922024-03-28T15:20:29.578+01:00BiblizaFérue de lecture depuis toute petite, voici de petites notes sur les livres qui passent entre mes mains.
Du Polar, des Albums Jeunesse, des Romans, de la BD, ...
Quelques thèmes ou auteurs de prédilection :
- Littérature sur la 2ème Guerre Mondiale et la Soah
- Patrick Modiano
- Jorge Semprun
- Olivier Adam
- Polars suédois
- Mario Ramos
- Contes détournés
Et surtout : de belles découvertes littéraires !
Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.comBlogger1500125tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-25496273767472486972024-03-27T06:06:00.045+01:002024-03-27T06:06:00.145+01:00Comédie sur un quai de gare<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7uugkIcVZucKRYe54fqzsJFagqp9OF9NKPfCdobcvXDebGrMtyFgPv9t8G9U6GhxyK8c-ZMi0W3QXH4z2P4vi88YrgXztWxLtX2TVdlbhLffuOz7xsdiS3ka7UII3qV_wZ3b9o9Anzt8xVJnrsZXQOD1mVUtcjFbl0Mig-ZbyU3mV8BG0NiM6yMFur1Fq/s2982/photostudio_1711477964660.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2982" data-original-width="2982" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7uugkIcVZucKRYe54fqzsJFagqp9OF9NKPfCdobcvXDebGrMtyFgPv9t8G9U6GhxyK8c-ZMi0W3QXH4z2P4vi88YrgXztWxLtX2TVdlbhLffuOz7xsdiS3ka7UII3qV_wZ3b9o9Anzt8xVJnrsZXQOD1mVUtcjFbl0Mig-ZbyU3mV8BG0NiM6yMFur1Fq/s320/photostudio_1711477964660.jpg" width="320" /></a></div>Comédie sur un quai de gare,</i></h3>Samuel Benchetrit,<br />Ed. Julliard, 2001<p></p><p><br /></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>"Sur le banc de gauche, est assis Charles. La soixantaine passée. Il est habillé d'un pantalon en velours marron, d'une chemise à carreaux marron et d'un gilet en laine marron. A ses pieds, une valise. Il regarde devant lui.</i></p><p><i>Sur le banc du milieu, est assise Michelle. Une trentaine d'années. Michelle porte une robe simple et claire. A ses pieds, une valise. Elle regarde devant elle.</i></p><p><i>Sur le banc de droite, est assis Vincent. Environ trente-cinq ans. Il porte un costume bleu marine et une chemise blanche sans cravate. A ses pieds, une valise. Il regarde devant lui. C'est le plus nerveux, il reluque régulièrement sa montre."</i></p><p><i>Sur un quai de gare, trois individus attendent un train qui a du retard... Ils ne se connaissent pas. C'est la nuit, il fait bon et la fille est plutôt jolie. Les deux hommes s'inquiètent alors de son avenir...</i></p><p><br /></p><p><b><u>Dealer :</u></b> <i>Dialogues</i>, Brest</p><p><br /></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>A la sortie de cette pièce de théâtre en 2001, j'ai lu et relu le livre des tas de fois. Et je savourais ce que lisais avec mes oreilles puisque j'avais été voir la pièce se jouer à Paris. C'était au théâtre Hébertot il y a 24 ans (rien que ça !). C'était la première fois que j'allais dans un théâtre parisien, seule. Et première et dernière fois que je voyais Marie Trintignant, mais ça, je ne le savais pas.<br />C'était un moment magique.</p><p>Quand je relis ce texte aujourd'hui, après l'avoir oublié des années, j'entends encore leurs voix. Leurs silences. Et je vois encore leurs regards échangés.</p><p>Avec tout ça, j'oublie de vous parler de la pièce elle-même. <br />Ecrite par Samuel Benchetrit, elle raconte un père en fin de vie cherchant à caser sa fille. Elle raconte une fille inquiète pour son père et pour son avenir. Elle raconte un jeune homme qui monte à Paris ouvrir un bar-tabac acheté par correspondance. C'est drôle. C'est tendre. C'est poétique.<br />Cette pièce a-t-elle joué dans ma passion pour les trains ? Probablement !</p><p>Bref, je voulais vous parler de cette courte pièce au grand cœur...</p><p><br /></p><p>Comédie sur un quai de gare <br />https://www.youtube.com/watch?v=kB5GVMNwbJY</p>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-26735731009091874782024-03-26T14:33:00.000+01:002024-03-26T14:33:12.301+01:00Mon cœur a déménagé<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnMGuQffkAHsCLCWRf0v1XNzUAgLtbdX-_LPcnbhRPJb5N9GVFgLj1mH5dHty4aB1y8373Q15f0cOwbBh4Ql2CbQCvjke4HuuFZAU2XI_rA0PeVLDqbFZ1R9tG0cAmE6cHH9DHZmHcjb5zvuKPXabshCex5w0NtvhdFaFAoX14RMlVd3OKllUgsH96G4Qd/s3024/photostudio_1711444821598.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnMGuQffkAHsCLCWRf0v1XNzUAgLtbdX-_LPcnbhRPJb5N9GVFgLj1mH5dHty4aB1y8373Q15f0cOwbBh4Ql2CbQCvjke4HuuFZAU2XI_rA0PeVLDqbFZ1R9tG0cAmE6cHH9DHZmHcjb5zvuKPXabshCex5w0NtvhdFaFAoX14RMlVd3OKllUgsH96G4Qd/s320/photostudio_1711444821598.jpg" width="320"></a></div>Mon cœur a déménagé,</i></h3>Michel Bussi,<br>Ed. Presses de la cité, 2024<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Mon cœur a déménagé est à la fois un récit initiatique, un roman d'amour et d'amitié, une vaste enquête s'étirant sur plus d'une décennie, et bien entendu une intrigue à twist, nul ne sachant, jusqu'à la dernière page, qui connaît la vérité, et qui la manipule.</i></p><p><i>" Papa a tué maman. "</i></p><p><i>Ophélie a tout vu, du haut de ses sept ans.<br>Son père n'est pas le seul coupable. Un homme aurait pu sauver sa mère.<br>Dès lors, Ophélie n'aura plus qu'un but : retrouver les témoins, rassembler les pièces du puzzle qui la mèneront jusqu'à la vérité. Et se venger !<br>Enfant placée en foyer, collégienne rebelle, étudiante évoluant sous une fausse identité, chaque étape de sa vie sera marquée par sa quête obsessionnelle.</i></p><p><br></p><p><u><b>Dealer :</b></u> Bibliothèque de Sibiril</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Je ne lis pas souvent de romans de Michel Bussi mais je suis rarement déçue ! L'auteur sait manipuler le lecteur à sa guise pour un final en apothéose.<br>J'ai cédé à la tentation du titre qui reste en tête grâce à un autre Michel... 🎵</p><span></span><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/03/mon-cur-demenage.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-6735997691782626812024-03-21T14:29:00.003+01:002024-03-21T18:08:16.057+01:00Vestiaire de l'enfance<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMb7yqo5AAThTweU4efdzeiTUfmTjK6Rpet83JKUMAKwULvBonswYHDCcK4-Za9QMA_y97d-iIxZQzmpxgi5SQ2Mv4FOi8fb3nZ8E0blWif8dXRvxB5mRpMu2MDYkg7koq8z5yO_mVmkpQuWYAm05VlHbRer50_P6kfuBr1uEUyrOKMAGIXnH6y7BE3-RY/s3024/photostudio_1711025951947.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMb7yqo5AAThTweU4efdzeiTUfmTjK6Rpet83JKUMAKwULvBonswYHDCcK4-Za9QMA_y97d-iIxZQzmpxgi5SQ2Mv4FOi8fb3nZ8E0blWif8dXRvxB5mRpMu2MDYkg7koq8z5yO_mVmkpQuWYAm05VlHbRer50_P6kfuBr1uEUyrOKMAGIXnH6y7BE3-RY/s320/photostudio_1711025951947.jpg" width="320"></a></div><h3 style="text-align: left;"><i>Vestiaire de l'enfanc</i>e,</h3>Patrick Modiano,<br>Ed. Gallimard, 1989<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>" Quand je l'ai aperçue, assise près de la grille en fer ouvragé qui sépare le café de la salle de billard, je n'ai pas tout de suite distingué les traits de son visage. Dehors, la lumière du soleil est si forte qu'en pénétrant au Rosal, vous plongez dans le noir. La tache claire de son sac de paille. Et ses bras nus. Son visage est sorti de l'ombre. Elle ne devait pas avoir plus de vingt ans. Elle ne me prêtait aucune attention".<br>" Toute personne susceptible de nous donner d'autres détails sur ces sujets est priée de nous écrire. "</i></p><p><br></p><p><b><u>Dealer :</u></b> Dialogues, Brest</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Pour moi, lire du Modiano, c'est comme déguster un thé dont je viens d'ouvrir le paquet. Il aura ce goût aussi réconfortant que les autres. Sans surprise. Mais avec beaucoup de saveur.<br>Et, parfois, quand je lis, une voix s'impose dans ma tête. C'est souvent celle de Jack dans Titanic (on ne se refait pas !). Mais là, c'était celle de Jean-Louis Trintignant. Lente. Douce. Mélancolique. A point nommé, pour les mots de Modiano.</p><span></span><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/03/vestiaire-de-lenfance.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-90350864301174937242024-03-20T21:17:00.000+01:002024-03-20T21:17:33.767+01:00Un simple dîner<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjurQ1pHGTnRV0o3pJNB2xCB173wtRm1El1B3hyvggRxB6PH17KWic1nCXnBLlwuDmy_i1mDXPyMogoN-cSifyBoCC9j88Kmq7WV-3oJZUEsgoaOgGNbTM4aWnSq-tFKZ2Htkfqn3LU2YssuxqF9hGB6CB9y2CVxQ7ar68Vw5flXpwU9_hc_JWrLpik8OT3/s3024/photostudio_1710944938084.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjurQ1pHGTnRV0o3pJNB2xCB173wtRm1El1B3hyvggRxB6PH17KWic1nCXnBLlwuDmy_i1mDXPyMogoN-cSifyBoCC9j88Kmq7WV-3oJZUEsgoaOgGNbTM4aWnSq-tFKZ2Htkfqn3LU2YssuxqF9hGB6CB9y2CVxQ7ar68Vw5flXpwU9_hc_JWrLpik8OT3/s320/photostudio_1710944938084.jpg" width="320"></a></div>Un simple dîner,</i></h3>Cécile Tlili,<br>Ed. Calmann-Lévy, 2023<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Un soir de canicule, en août à Paris, deux couples se rejoignent pour dîner. La soirée aura lieu chez Étienne. Claudia, sa compagne, d’une timidité maladive, a cuisiné toute la journée pour masquer son appréhension. Johar et Rémi, leurs invités, n’ont pas l’esprit tranquille non plus. Autour de la table, les uns nourrissent des intentions cachées tandis que les autres font tout pour garder leurs secrets. L’odeur épicée d’un curry, une veste qui glisse d’un fauteuil, il suffit d’un rien pour que tout bascule.<br></i><i>Avec ce huis-clos renversant, Cécile Tlili interroge la place des femmes dans la société et tisse, avec délicatesse, une ode à l’émancipation et à la liberté.</i></p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p><b>[Lu dans le cadre du Prix des Médiathèques de Haut-Léon-Communauté]</b></p><p>Dans la langueur d'une canicule parisienne, boulevard Raspail, deux couples transpirent secrets et vérités... <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/03/un-simple-diner.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-7024150580607066482024-03-15T13:34:00.002+01:002024-03-15T13:34:41.868+01:00Le corbeau d'Oxford<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFH7-lM1EvhtlFmBjs42U-V7mfEAl1M_DUBlfrjXPGyYXkJ0fuevl7BAsX6gwu1ZLttxCpfNoFBSE_IQjmm99sMqX7-HMnQHfHOR8JgdVhd6uTALjC1H3sQT5uuoVS4VUHj8qUc4GPe_CWcVfF7ILOAS65EL6qE277eXr4X9I0YRGZb7JCG3PUmsdd2n7W/s3024/photostudio_1710438361471.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFH7-lM1EvhtlFmBjs42U-V7mfEAl1M_DUBlfrjXPGyYXkJ0fuevl7BAsX6gwu1ZLttxCpfNoFBSE_IQjmm99sMqX7-HMnQHfHOR8JgdVhd6uTALjC1H3sQT5uuoVS4VUHj8qUc4GPe_CWcVfF7ILOAS65EL6qE277eXr4X9I0YRGZb7JCG3PUmsdd2n7W/s320/photostudio_1710438361471.jpg" width="320"></a></div>Le corbeau d'Oxford,</i></h3>Faith Martin,<br>Ed. Harper Collins, 2019<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Oxford, 1960. Lorsque Sir Marcus Deering, un riche industriel de la région, reçoit plusieurs lettres de menace anonymes, il prend le parti de ne pas s’en inquiéter. Mais bientôt, un meurtre est commis, et les meilleurs éléments de la police d’Oxford sont mobilisés. La toute jeune policière Trudy Loveday rêverait de participer à une affaire aussi importante, mais ses supérieurs coupent rapidement court à ses ambitions. Écartée de l’enquête et chargée d’assister le brillant mais peu amène Dr Clement Ryder, Coroner, sur une affaire classée, elle se retrouve pourtant très vite au cœur d’une énigme qui pourrait bien la mener sur la piste du mystérieux corbeau d’Oxford… </i></p><p><br></p><p><b><u>Dealer :</u></b> Occasion Leclerc Saint-Grégoire (35)</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Dans une banlieue huppée de l'Oxford des années 60, les apparences sont parfois trompeuses...<br>Un corbeau envoie une lettre à un riche homme d'affaire et un meurtre non élucidé refait surface. De quoi faire cogiter les méninges d'un duo improbable : la jeune policière Trudy Loveday et le vieux coroner à la retraite, Clement Ryder. <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/03/le-corbeau-doxford.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-86972662329935404292024-03-13T13:38:00.001+01:002024-03-13T13:38:52.977+01:00Comme un murmure<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwHOqJBoNki-zWPhujDcqXLffgolNtWkj3ypCdTnqHfmHvM6hfSlbFDHjJYUzg03B_2rOQUHhwYOldiRQYYfaV2JJb2SxZvgTtEpla4NnqdnEa0-VPnhP2bNNOMAs7YnGhM8q27_RNMEA_yk8IfUTySqCjJYlgoUwhBH1I-A-kkCvnsEHPJsjil6W8uwZ-/s3024/photostudio_1710321249720.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwHOqJBoNki-zWPhujDcqXLffgolNtWkj3ypCdTnqHfmHvM6hfSlbFDHjJYUzg03B_2rOQUHhwYOldiRQYYfaV2JJb2SxZvgTtEpla4NnqdnEa0-VPnhP2bNNOMAs7YnGhM8q27_RNMEA_yk8IfUTySqCjJYlgoUwhBH1I-A-kkCvnsEHPJsjil6W8uwZ-/s320/photostudio_1710321249720.jpg" width="320"></a></div>Comme un murmure,</i></h3>Soazig Leblanc,<br>Autoédition, 2022<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Quand elle reçoit l’appel d’un notaire qui lui annonce le décès de sa grand-mère, Alice décide de retourner à Saint-Sultan, au risque de voir les souvenirs qu’elle a enfouis refaire brutalement surface.</i></p><p><i>Remettre les pieds dans ce village encerclé par des montagnes l’inquiète. Et si tout ce qu’elle avait tenté de fuir douze ans plus tôt l’y attendait ? Et si tout ce qu'elle avait construit depuis risquait de s'effondrer ? Dans cette maison oppressante, remplie des fantômes du passé, Alice est terrifiée à l'idée d'être à nouveau confrontée à ces anciens cauchemars et ces rumeurs qui l'ont empêchée, petite fille, de vivre une existence normale.</i></p><p><i>Entre nouvelles surprenantes, retrouvailles émouvantes et cataclysme émotionnel, Alice cherche à comprendre ce qui l’a toujours dépassée et à se sortir du piège dans lequel elle sombre peu à peu.</i></p><p><br></p><p><u><b>Dealer :</b></u> Bibliothèque de Sibiril</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Cette couverture enneigée et ce résumé alléchant m'ont donné envie de lire ce roman de <b>Soazig Leblanc</b>. Et l'idée d'une Alice, d'une maison et d'une grand-mère a fait écho en moi...</p><span></span><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/03/comme-un-murmure.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-71628163038475766362024-03-08T14:09:00.001+01:002024-03-08T14:16:35.398+01:00L'extraordinaire histoire de la Villa Alice<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgdL2RxeoF7JbxfSM0Ztm-iw21UD3v0M70OqeumIih_YVAUWRzHynnkNSDR9SjqRGbpj9Z6BWBBcVAwrKaMX9vIq3Aal0mhUNr_d-b4oIw-dXSlpjrms6AVnUQSDJwux1YREyssTAcS_tJgHy_ANkcpIc16ujrmKzbrP79qm7dYbUwzaD3BMXdbVHUaS_E1/s3024/photostudio_1709821288820.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgdL2RxeoF7JbxfSM0Ztm-iw21UD3v0M70OqeumIih_YVAUWRzHynnkNSDR9SjqRGbpj9Z6BWBBcVAwrKaMX9vIq3Aal0mhUNr_d-b4oIw-dXSlpjrms6AVnUQSDJwux1YREyssTAcS_tJgHy_ANkcpIc16ujrmKzbrP79qm7dYbUwzaD3BMXdbVHUaS_E1/s320/photostudio_1709821288820.jpg" width="320"></a></div>L'extraordinaire histoire de la Villa Alice,</i></h3>Maële Vincensini,<br>Ed. Locus Solus, 2023<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Quitter l’Île-de-France pour la Bretagne, quoi de plus banal ? Mais tomber sur une maison abandonnée, emplie de tous ses meubles et souvenirs intacts, visitée en mode « urbex », en devenir folle amoureuse et chercher par tous les moyens à l’acquérir, voilà déjà qui s’apparente à une enquête des plus singulières.</i></p><p><i>C’est cette aventure sur un peu plus d’un an que Maële partage sur les réseaux sociaux, depuis ses premiers contacts avec la Villa Alice : 40 épisodes mis en ligne sur TikTok, Instagram, Facebook, qui totalisent 20 millions de vues ! Et des articles de presse, des reportages TV, des liens insoupçonnés avec toujours de nouvelles personnes liées à la Villa Alice. Un phénomène !</i></p><p><i>Ce qui la pousse à fixer, en un beau-livre mêlant ses textes et photographies, toute cette histoire et ses rebondissements : la propriétaire presque centenaire, les fils retissés un à un de tous les personnages rencontrés sur les photos jaunies, au fond des tiroirs… leur destin traversé par deux guerres mondiales. Et des découvertes incroyables dans des pièces secrètes, des recoins de cheminées…</i></p><p><i>Comme les milliers followers passionnés par cette aventure, on progresse pas à pas sur les traces de la Villa Alice afin d’en percer le mystère, tout en suivant de près les affres d’une rénovation. Mais une rénovation qui entend garder son âme à un lieu qui en est chargé et que ce livre fait partager de manière originale, sensible et divertissante.</i></p><p><br></p><p><b><u>Dealer :</u></b> <i>Livres in room</i>, Saint-Pol-de-Léon (29)</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Mon Alice ne s'étant pas encore envolée de ses propres ailes, je n'avais pas encore ouvert mon cadeau de Noël, le livre de l'extraordinaire histoire de la Villa Alice. Peut-être suivez-vous les aventures de cette maison du Finistère Sud et de la famille de Maële, nouveaux propriétaires de cette maison aux âmes multiples... <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/03/lextraordinaire-histoire-de-la-villa.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-49937503632686979642024-03-05T14:58:00.003+01:002024-03-05T14:58:35.278+01:00Ving-quatre heures dans la vie d'une femme<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiok6Yu7mIcOUM7TBbDL8oOWzeT117408qiGKPoVGffxB3QAOPnrxWYILe1fAi9sgejQL_kUYa3hVngnR7wxK4Cw6FoWYpaet4PnTwv5VyjEAq0iNeVB9cFPoMHKYnHoeE4nMpXQTxOdOOhbth2mjvqLrJ_oL-KsKU4PScInlwEE4S-OaSX6AJ-eQpszmC/s3024/photostudio_1709643030969.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiok6Yu7mIcOUM7TBbDL8oOWzeT117408qiGKPoVGffxB3QAOPnrxWYILe1fAi9sgejQL_kUYa3hVngnR7wxK4Cw6FoWYpaet4PnTwv5VyjEAq0iNeVB9cFPoMHKYnHoeE4nMpXQTxOdOOhbth2mjvqLrJ_oL-KsKU4PScInlwEE4S-OaSX6AJ-eQpszmC/s320/photostudio_1709643030969.jpg" width="320"></a></div>Vingt-quatre heures dans la vie d'une femme,</i></h3>Stefan Zweig,<br>1927<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Au casino de Monte-Carlo, une veuve anglaise prend sous son aile un jeune homme perdu par la fièvre du jeu. Assumant le rôle de mère et d'amante, elle tente tout pour l'aider. Elle-même ne se reconnaît plus : va-t-elle abandonner sa vie bourgeoise et s'enfuir avec lui ? Le sauver implique de se perdre. Voici le récit des vingt-quatre heures qui changent une vie. Dans cette sombre nouvelle, parue en 1925, qui a beaucoup frappé Freud, Zweig se montre au sommet de son art de psychologue, dans l'analyse du coup de foudre amoureux et de l'addiction au jeu, ainsi que d'une passion plus complexe qui menace l'héroïne : la pitié dangereuse, ce mélange de sensualité et de devoir. L'auteur décrit admirablement le conflit intérieur qui se joue en chaque individu quand son existence se change en destin.<br>Ce récit d'une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l'auteur d'"Amok" et du "Joueur d'échecs" est une de ses plus incontestables réussites.</i></p><p><br></p><p><u><b>Dealer :</b></u> Recueil France Loisirs, 2010</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Dans ce très court roman de moins de cent pages, <b>Stefan Zweig</b> s'attaque aux méandres de l'âme humaine et plus particulièrement à celle d'une femme. Le lire pour la Journée de la femme me semblait une bonne idée... <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/03/ving-quatre-heures-dans-la-vie-dune.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-56517945361973891602024-02-29T09:47:00.004+01:002024-02-29T12:31:04.107+01:00Dans la maison d'été<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOFbNNtC0vxdhrWUVrMxhWS6Q4YhIaD8zrBqHsi1-EQ84RKSUgrX3v-KbDe67CI7ux0JJD7bYIyiYUU1qddTht1hzXlPeF9AFQXqTd2FKcZ2i9A-yCaGpIStG242pnyW0SOelSLDTGEqdR7urShH9I-yNIz__yyMplbxcvn7rPJXv1j3L4TEJspEIl8RZ4/s2765/photostudio_1709111623182.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2765" data-original-width="2765" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOFbNNtC0vxdhrWUVrMxhWS6Q4YhIaD8zrBqHsi1-EQ84RKSUgrX3v-KbDe67CI7ux0JJD7bYIyiYUU1qddTht1hzXlPeF9AFQXqTd2FKcZ2i9A-yCaGpIStG242pnyW0SOelSLDTGEqdR7urShH9I-yNIz__yyMplbxcvn7rPJXv1j3L4TEJspEIl8RZ4/s320/photostudio_1709111623182.jpg" width="320"></a></div>Dans la maison d'été,</i></h3>Karine Reysset,<br>Ed. Flammarion, 2024<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>"Si nous avons eu notre part de malheurs, nous avons aussi connu des jours de partage, d'épiphanie et de joie, touché du bout des doigts la grâce et le bonheur, d'une manière qui n'appartient qu'à nous." La maison d'été, c'est la villa balnéaire qu'Albert et Rose achètent à l'automne 1980. Pendant plus de quarante ans, parents, enfants, petits-enfants vont s'y croiser, s'y succéder, y séjourner parfois pour quelques jours, parfois au long cours. Au fil des saisons, au gré des marées, quatre générations vont s'aimer, se déchirer, danser, rire et pleurer. Naissances, fêtes et anniversaires, premières fois, deuils, petits et grands événements de la vie jalonnent cette ample fresque romanesque qui retrace l'histoire d'une famille française de la fin du XXᵉ siècle à nos jours.</i></p><p><br></p><p><b><u>Dealer :</u></b> SP de Karine Reysset</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p><i>Les Hortensias</i>, la maison de la famille Reiss est à vendre. Mamirose l'avait achetée avec Papibleu en 1980. Depuis, sur une quarantaine d'années, une floppée de parents et d'enfants ont exprimé leurs émois, des robes blanches aux robes noirs, des ventres pleins aux ventres vides. <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/02/dans-la-maison-dete.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-87628676441080310902024-02-28T14:59:00.072+01:002024-02-29T15:30:23.802+01:00Lebensborn<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgszSnxFFoXKv5hXnk3UsarjRt4VQwmwINk_gpg6cLnFYpItnpc1Mf48Un5KMqU-JDj-ypSiyPUL2RurleAVp9mS3PErJwc1jwdtwdd8MaN0NE10m5cxf9UDFMMcRflXID5UoG-CTfoCfY2xtJTNJ5Ct7uICjPMsEl9ljd9tmn_93VOZJ-Tca9-YO1pkGL7/s3024/photostudio_1709213313463.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgszSnxFFoXKv5hXnk3UsarjRt4VQwmwINk_gpg6cLnFYpItnpc1Mf48Un5KMqU-JDj-ypSiyPUL2RurleAVp9mS3PErJwc1jwdtwdd8MaN0NE10m5cxf9UDFMMcRflXID5UoG-CTfoCfY2xtJTNJ5Ct7uICjPMsEl9ljd9tmn_93VOZJ-Tca9-YO1pkGL7/s320/photostudio_1709213313463.jpg" width="320"></a></div>Lebensborn,</i></h3>Isabelle Maroger,<br>Ed. Bayard Graphic', 2024<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Un matin qu'elle se promène avec son fils, bébé, Isabelle Maroger se fait interpeller par une femme qui la complimente pour ce bel enfant blond aux yeux bleus et ajoute « ça devient rare comme race »...</i></p><p><i>Un choc pour Isabelle, qui réalise qu'il est temps pour elle de raconter son histoire. Car si elle est, elle aussi, grande, blonde et aux yeux bleus, c'est parce qu'elle est à moitié norvégienne. Sa mère est née, pendant la guerre, dans un Lebensborn, ces maternités mises en place par les nazis pour produire à la chaîne de bons petits aryens.</i></p><p><br></p><p><u><b>Dealer :</b></u> SP Bayard Graphic'</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Quel coup de cœur, ce roman graphique ! <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/02/lebensborn.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-2077210298411608262024-02-19T15:25:00.002+01:002024-02-19T15:25:43.942+01:00Chroniques de l'asphalte<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjI9YZMDTTUWrPmCnoaqfE7LRh3a_bvHG_4OnoAiH1rBcoy1phJ_Bb4xHzcxr_aH3VFv5q21Lw4FFx3376FMGXN_EPAcTSgKBPmU3n2sB5-1_IV55HDgiYthY-_1r2WsPXK2Ia4U0IkNDZ3lTLAcoUHMqw-IOsfALi9inJ2bMo-7H18rXgUkcswrQO-XvnR/s3024/photostudio_1708350397966.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjI9YZMDTTUWrPmCnoaqfE7LRh3a_bvHG_4OnoAiH1rBcoy1phJ_Bb4xHzcxr_aH3VFv5q21Lw4FFx3376FMGXN_EPAcTSgKBPmU3n2sB5-1_IV55HDgiYthY-_1r2WsPXK2Ia4U0IkNDZ3lTLAcoUHMqw-IOsfALi9inJ2bMo-7H18rXgUkcswrQO-XvnR/s320/photostudio_1708350397966.jpg" width="320" /></a></div>Chroniques de l'asphalte,</i></h3>Samuel Benchetrit,<br />Ed. Grasset, 2023<p></p><p><br /></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Douze ans après le dernier tome des Chroniques de l'Asphalte, nous retrouvons la bande de copains vivant dans une cité HLM au milieu des années 80. Les voici ici confrontés à l'art sous toutes ses formes : émerveillés, obsédés et influencés par la culture, encore omniprésente dans les quartiers à cette époque.</i></p><p><i>Au fil des chroniques, nous suivons Karim, Daniel, Dédé, Samuel et les autres, à la représentation d'un spectacle de danse contemporaine, au tournage du clip "l'Aziza" de Daniel Balavoine, au premier one man show de Smaïn...</i></p><p><i>L'un essaie d'apprendre un poème de Verlaine grâce à une drôle de méthode ; un autre, à la voix de crécelle, de séduire une fille qui n'aime que le chanteur de U2 Bono ; un autre, de regarder Canal+ sans décodeur ; un autre de devenir Rasta après avoir été Skinhead... Les photo-clubs sont ouverts, les salles de cinéma pleines, le bicentenaire de la révolution va être fêté, on joue à L'agence tout risque dans les caves, les casses de voitures et les parkings, les mères regardent Véronique et Davina à la télé pour faire du sport, les pères regardent aussi, sans faire de sport.</i></p><p><i>Il y a celui qui rate le film du dimanche soir pour se débarrasser de cendres encombrantes, celui qui a failli mourir le jour où Coluche est mort... Et cette question fondamentale : Qui est le mieux coiffé, de Jean-Pierre Foucault et de Patrick Sabatier ? Peut-être Michel Drucker !</i></p><p><br /></p><p><b><u>Dealer :</u></b> Seconde main</p><p><br /></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>J'ai découvert <b>Samuel Benchetrit</b> en 2001 avec la pièce<i> Comédie sur un quai de gare</i> que j'ai pu voir jouer au théâtre Hébertot avec les Trintignant père et fille et Patrick Lizana. C'était à la fois drôle, tendre et poétique.</p><p>Presque un quart de siècle plus tard, l'auteur n'a rien perdu de son humour tendre et poétique. Dans ses <i>Chroniques de l'asphalte</i> dont je viens de lire le quatrième tome, il revient sur son enfance en banlieue. Tours HLM, copains dans le hall, le collège, les cours de photos, le pressing, la décharge, la télé, ... Il dresse le portrait des figures du quartier qui ont marqué son enfance, comme Abdelkrim qui n'a finalement pas joué dans le clip de Balavoine ; Dédé devenu fou à force de regarder Canal + en crypté ; Gus, Jacky et Boban qui jouent à<i> K-2000, L'agence tous risques</i> ou <i>Mac Gyver</i>, ... En bon dramaturge, il offre un rôle, une nouvelle à chacun.<br />Bref, une farandole de personnages, de situations, de drames, de quotidiens, de poésie, de tendresse et d'humour. J'ai beaucoup aimé sa plume, fidèle à lui-même, légère et pourtant vive, avec son air de ne pas y toucher, lui, ce véritable touche à tout. Sa voix a des airs de Petit Nicolas, sûrement pour le côté tendre de l'enfance, même si elle n'était pas si tendre que cela, mais parfois cruelle. </p><p>Bref, c'était un plaisir de revenir dans cette cité des années 80 aux couleurs, aux codes et à la culture pop de l'époque. Un voyage dans le temps avec Samuel Benchetrit aux commandes de la DeLorean !</p>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-25623491943978658942024-02-16T13:53:00.002+01:002024-02-16T13:53:41.594+01:00Tu sais où me trouver !<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdJFx8rzxRNTKJEP3eVza-nOJyvP1NE6m3Vy1wqWCPCuW3jjV43bR3ByQU7GMNxnIyL_FkQYlv9gAIpS4D1tVkW33nBuizpTPBs63Yj0kZRSZjfQxe-IcV9Nypyw9leE01koDVMfG0QgEJH_H3lYPPEcD0u_m0dv4wDof6-ZilWROb7CIMFkgN4LVtDph4/s3024/photostudio_1708074436094.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdJFx8rzxRNTKJEP3eVza-nOJyvP1NE6m3Vy1wqWCPCuW3jjV43bR3ByQU7GMNxnIyL_FkQYlv9gAIpS4D1tVkW33nBuizpTPBs63Yj0kZRSZjfQxe-IcV9Nypyw9leE01koDVMfG0QgEJH_H3lYPPEcD0u_m0dv4wDof6-ZilWROb7CIMFkgN4LVtDph4/s320/photostudio_1708074436094.jpg" width="320"></a></div>Tu sais où me trouver !</i></h3>Gaëlle Ausserré,<br>Autoédition, 2020<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de de l'éditeur :</u></h3><p><i>Lorsqu’Else rentre chez elle après six mois d’absence, elle espère donner une deuxième chance à son mariage. Ses retrouvailles avec Gregory se révèlent maladroites et tendues. Des épreuves les ont éloignés au point de ne plus oser se dire qu’ils s’aiment. L’irruption dans leur quotidien de leur neveu de dix ans les incite à faire tomber les masques.<br>Dès leur rencontre, sept ans auparavant, ce couple avait pourtant tout d’idéal. En reprenant le fil des événements, les éléments du tableau se dessinent un à un.<br>Afin de sauver leur histoire d’amour, débutée tel un défi lancé à l’autre, Else et Greg sont désormais contraints d’affronter le drame qui les empoisonne, de se souvenir de cette lumière douce qui suffisait pourtant à éclairer leur vie.</i></p><p><br></p><p><b><u>Dealer :</u></b> Bibliothèque de Sibiril</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Après avoir aimé deux autres de ses romans, <i>Qu'une parenthèse</i>, et <i>Couleur de lac</i>, j'ai eu envie de découvrir une nouvelle histoire de <b>Gaëlle Ausserré</b>. <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/02/tu-sais-ou-me-trouver.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-87720756322164706612024-02-14T10:31:00.002+01:002024-02-14T10:31:55.063+01:00Les ours mal léchés s'apprivoisent à Noël<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZ00N8FZUape5ALqUeEIk0kr3lAlMmbeqxk4Hb7z9NoRthapAHKYZVUJ0oPfYpNngHZRjNJA8qGjO0IIoRIs-kDD6_a1yRDQrcQLPj59w-CY5-J7xRgYynfc7qSCmfD7a8ff0aAJMk7N886RUFK-8TKD8UJiA8odhMt8J4iboR8KbdDNBxe2vuTJeyr7zr/s3024/photostudio_1707899056537.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZ00N8FZUape5ALqUeEIk0kr3lAlMmbeqxk4Hb7z9NoRthapAHKYZVUJ0oPfYpNngHZRjNJA8qGjO0IIoRIs-kDD6_a1yRDQrcQLPj59w-CY5-J7xRgYynfc7qSCmfD7a8ff0aAJMk7N886RUFK-8TKD8UJiA8odhMt8J4iboR8KbdDNBxe2vuTJeyr7zr/s320/photostudio_1707899056537.jpg" width="320"></a></div>Les ours mal léchés s'apprivoisent à Noël,</i></h3>Valentine Stergann,<br>Ed. Hugo Romans, 2020<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Et s'il suffisait de quelques flocons de neige pour réparer les coeurs ?<br>Malgré un quotidien bien huilé, Irène a l'impression de passer à côté de son destin. Alors, quand elle apprend que la vieille amie de sa grand-mère lui lègue sa maison en Angleterre, elle n'hésite pas et saute seule dans le premier avion, direction Charlestown.<br>À l'aube des fêtes de fin d'année, elle démarre une nouvelle vie avec de nouveaux voisins : un septuagénaire loufoque, une pétillante serveuse... mais surtout Rudolph, solitaire et bourru, veuf depuis deux ans. Aussi attirant qu'agaçant, cet homme des cavernes se maintient tant bien que mal au-dessus des flots grâce à son fils.<br>Et si l'étincelante Irène réussissait à le faire sourire à nouveau ? Et si c'était ça, la magie de Noël ?</i></p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Je redécouvre <b>Valentine Stergann</b> avec cette romance de Noël. Oui, je sais, romance de Noël, ça sonne téléfilm de M6 les après-midis de décembre. Mais... non ! Je vous explique. <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/02/les-ours-mal-leches-sapprivoisent-noel.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-16886185360899120892024-02-09T14:59:00.001+01:002024-02-09T14:59:51.207+01:00Tout ce qui manque<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2QmCEHbxRwEDN1tuBWziRuzDOogvTCvUu3LlgfARW0gFqO3o2vNbAHTLJuJq_IXhkMa6JPoMMELzODjcXnmnHqPi3L5-HbaTBKw1bPgMuqtyCTE0j9DXCw4p9U3KDfl9ty6Xwj5WdvnW7yoB6GYQ3Wnu6JiqGi3G6TtZYKtRmB7pHwXU5W1XQug1gDYLA/s2936/photostudio_1707468799061.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2936" data-original-width="2936" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2QmCEHbxRwEDN1tuBWziRuzDOogvTCvUu3LlgfARW0gFqO3o2vNbAHTLJuJq_IXhkMa6JPoMMELzODjcXnmnHqPi3L5-HbaTBKw1bPgMuqtyCTE0j9DXCw4p9U3KDfl9ty6Xwj5WdvnW7yoB6GYQ3Wnu6JiqGi3G6TtZYKtRmB7pHwXU5W1XQug1gDYLA/s320/photostudio_1707468799061.jpg" width="320"></a></div>Tout ce qui manque,</i></h3>Florent Oiseau,<br>Ed. Allary, 2023<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Roman de la rupture amoureuse, cahier du pays natal. Tout ce qui manque fait le point sur tout ce qui compte. A la manière d'un John Fante d'Intercités, Florent Oiseau ajoute à sa plume une pointe de mélancolie dont le sarcasme flegmatique émeut autant qu'il réjouit. "Le projet m'apparaissait évident, j'utiliserais le village pour tisser un décor, raconter une histoire en apparence inoffensive mais avec, cette fois, un but bien précis : dire entre les lignes tout ce que j'avais cru malin de taire.</i></p><p><i>Ana, tu n'es pas juste une infirmière ; Ana, tu n'es pas une colocataire ; Ana, tu n'es pas une habitude, t'aimer est ma première certitude, l'avoir mal fait est la deuxième, vouloir écrire un livre pour inverser le cours de notre histoire est la dernière".</i></p><p><br></p><p><b><u>Dealer :</u></b> Bibliothèque de Sibiril</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>C'est toujours un plaisir de retrouver un roman de Florent Oiseau. <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/02/tout-ce-qui-manque.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-78365333714128800872024-02-07T14:25:00.002+01:002024-02-07T14:25:16.310+01:00La bande de l'abribus<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgojOq-KnnkSkEQcickPE0Tl2fJhVsqA7ubup6JV8brJuB-tM2xy9XaRWKe5_wIu4jFhQhosR-B7tE37XfLT4vIOP7Skx94W-KnwQ4usPHUNMkKv0cCxVzP-rurd8VLZRpPOdBPw7q5-Evx6ETjQwPGWYlhXG-lyExT0ONfzcGoAVAyjs240Qf9eWIDgemP/s2129/photostudio_1707142621034.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2129" data-original-width="2129" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgojOq-KnnkSkEQcickPE0Tl2fJhVsqA7ubup6JV8brJuB-tM2xy9XaRWKe5_wIu4jFhQhosR-B7tE37XfLT4vIOP7Skx94W-KnwQ4usPHUNMkKv0cCxVzP-rurd8VLZRpPOdBPw7q5-Evx6ETjQwPGWYlhXG-lyExT0ONfzcGoAVAyjs240Qf9eWIDgemP/s320/photostudio_1707142621034.jpg" width="320"></a></div>La bande de l'abribus,</i></h3><i><b>Du rififi en psychiatrie,</b></i><br>Luce Michel,<br>Ed. Black Label, 2024<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>« La vie même est dangereuse. Aucun de nous n’en sortira vivant. »<br>Une clinique psychiatrique aux confins de trois villages du Sud de la France, un abribus où les patients prennent l’habitude de se retrouver pour fumer et pour discuter lorsqu’il pleut : Valérie, Viviane, Yves, Aurore forment ainsi une sympathique petite bande de dépressifs…<br>La clinique a bien du mal à survivre car - paradoxe - elle a besoin de malades pour tourner mais ceux-ci partent dès qu’ils sont guéris ! La psychiatre Amélie Bescotte va trouver la solution pour « fidéliser les patients » : et si, au lieu de les soigner, on créait ou on prolongeait leurs addictions… Au Diable le serment d’Hippocrate !<br>Céline, une des femmes de chambre, se rend compte que quelque chose ne tourne pas rond et commence à mener l’enquête. Lorsque, cerise sur le gâteau, un cadavre est découvert dans l’enceinte de la clinique, les esprits s’échauffent …</i></p><p><b><u><br></u></b></p><p><b><u>Dealer :</u></b> SP Agence <i>La Bande</i></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;">Ma lecture :</h3><p>J'ai découvert <b>Luce Michel</b> l'année dernière avec <i><b><a href="https://bibliza.blogspot.com/2023/03/vue-mer.html">Vue mer</a></b></i> que j'avais beaucoup aimé. Elle cultive l'art du huis clos avec son nouveau roman, <i><b>La bande de l'abribus</b></i>... <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/02/la-bande-de-labribus.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-25962482372934031232024-02-02T09:31:00.000+01:002024-02-02T09:31:04.118+01:00Comment j'ai retrouvé Xavier Dupont de Ligonnès<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4QVaL4E9EYANMZlRyrJ1A_hDyfkb4BnMQIjgEmeBhinCTUNi-FXXD0bHDo4iRLoefRhQrDsdXScLpjMmoUgnw4neiuq2VOjbDLahDVx1cGYehug0JEBmqgq7LP-tSV1w_s_ewTkLjIBIwHvcY_NPzLB5baIBzB1tnLJtvi4sTqf8-WjM0Zszj2vBytqX2/s3024/photostudio_1706796876172.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4QVaL4E9EYANMZlRyrJ1A_hDyfkb4BnMQIjgEmeBhinCTUNi-FXXD0bHDo4iRLoefRhQrDsdXScLpjMmoUgnw4neiuq2VOjbDLahDVx1cGYehug0JEBmqgq7LP-tSV1w_s_ewTkLjIBIwHvcY_NPzLB5baIBzB1tnLJtvi4sTqf8-WjM0Zszj2vBytqX2/s320/photostudio_1706796876172.jpg" width="320"></a></div>Comment j'ai retrouvé Xavier Dupont de Ligonnès,</i></h3>Romain Puértolas,<br>Ed. Albin Michel, 2024<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>« La photo a fait le tour du monde. Xavier Dupont de Ligonnès retirant trente euros à un distributeur automatique du sud de la France quelques jours après avoir "supposément" assassiné de sang-froid sa femme, leurs quatre enfants et leurs deux chiens. Pour moi, ce fut un choc, une espèce de mission dont je me suis senti aussitôt investi. Cette histoire m'obsède depuis 2011. Treize ans ont passé sans que je cesse une seule seconde de penser à lui. Je suis capitaine de police et écrivain, la combinaison parfaite pour me lancer dans l'enquête de ma vie. Ligonnès hante mes jours et surtout mes nuits. Il n'y a qu'une seule manière pour que je mette fin à cette torture, retrouver Xavier Dupont de Ligonnès... »</i></p><p><i>Dans ce « roman-quête », Romain Puértolas, ancien capitaine de police et auteur à succès de L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea, lie avec brio une rigoureuse investigation policière à une fiction aussi étonnante que jubilatoire, révélant, peut-être, le fin mot d'une déroutante affaire judicaire.</i></p><p><br></p><p><b><u>Dealer :</u></b> Bibliothèque de Sibiril (29)</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>L'affaire Dupont de Ligonnès passionne toute la France depuis 2011, certains détectives amateurs y consacrent même des forums et blogs pour faire avancer l'enquête. L'auteur Romain Puértolas, policier à l'époque, est lui aussi, pris dans ce tourbillon obsédant : mais où a bien ou passer Xavier Dupont de Ligonnès ? Est-il encore vivant ? <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/02/comment-jai-retrouve-xavier-dupont-de.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-40298332913533718902024-01-31T14:53:00.009+01:002024-01-31T14:53:58.361+01:00Le convoi<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRK37f4lcBb2OVUHZ2GqREZ8ryEkE-8MZzYGLiqLtgYTTroiH6oe3ZhYzl7TtwJMs1KNmPr2kIk23n19e9p94Pv0FY8bn1EK7F8cPr591hO4PB1qtymyDvuesKHaxbKH2WqOYnM71iarUZId-P0BOqDGm5jZlZI5UDtNNtnbjqz5k-4tVES0wORbq4guGE/s3024/photostudio_1706707056317.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRK37f4lcBb2OVUHZ2GqREZ8ryEkE-8MZzYGLiqLtgYTTroiH6oe3ZhYzl7TtwJMs1KNmPr2kIk23n19e9p94Pv0FY8bn1EK7F8cPr591hO4PB1qtymyDvuesKHaxbKH2WqOYnM71iarUZId-P0BOqDGm5jZlZI5UDtNNtnbjqz5k-4tVES0wORbq4guGE/s320/photostudio_1706707056317.jpg" width="320"></a></div>Le convoi,</i></h3>Beata Umubyeyi Mairesse,<br>Ed. Flammarion, 2024<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>"Il aura fallu quinze ans de cheminement incertain, une enquête menée aux confins de mémoires étiolées, pour retrouver une image sur laquelle j'espérais figurer, puis pour chercher mes compagnons de fuite. Quinze ans pour m'autoriser enfin à écrire cette histoire. La mienne et à travers elle, car il s'agit bien de me réinscrire dans un collectif, la nôtre, l'histoire des enfants des convois." Le 18 juin 1994, quelques semaines avant la fin du génocide des Tutsi au Rwanda, Beata Umubyeyi Mairesse, alors adolescente, a eu la vie sauve grâce à un convoi humanitaire suisse. Treize ans après les faits, elle entre en contact avec l'équipe de la BBC qui a filmé et photographié ce convoi. Commence alors une enquête acharnée (entre le Rwanda, le Royaume-Uni, la Suisse, la France, l'Italie et l'Afrique du Sud) pour recomposer les événements auprès des témoins encore vivants : rescapés, humanitaires, journalistes. Le génocide des Tutsi, comme d'autres faits historiques africains, a été principalement raconté au monde à travers des images et des interprétations occidentales, faisant parfois des victimes les figurants de leur propre histoire.</i></p><i>Nourri de réflexions sur l'acte de témoigner et la valeur des traces, entre recherche d'archives et écriture de soi, Le convoi est un livre sobre et bouleversant : il offre une contribution essentielle à la réappropriation et à la transmission de cette mémoire collective.</i><p><br></p><p><b><u>Dealer :</u></b> Masse Critique Babelio</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Pour être honnête, quand j'ai vu cette couverture et ce titre, en tout petit sur le catalogue <i>Masse Critique</i> de <b>Babelio</b>, probablement sans mes lunettes, j'ai cru qu'on parlait des convois des années 40, vous savez, ceux qui dérivaient vers l'Europe de l'Est. Mais non, nous sommes à l'été 1994, dans un Rwanda en guerre que la jeune Beata s'apprête à fuir. Le convoi est son histoire. Et celle de beaucoup de réfugiés rwandais. <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/01/le-convoi.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-11164821216841287192024-01-24T10:27:00.001+01:002024-01-24T10:27:39.583+01:00Ruth Fielding orpheline<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQ2c1tmFn6fkmNMdtumRgf1C1ul_uMgRwvc2i2CKFoVtDGHkSL7Syc7jwhySVr_tSlny0-VR1j1b03zjiSqLCP3dNWea_9aZUuanfB-rrG0TNFuurQyYvlao8ZNiw1dGV1EVTUOt7Z411l4gw3ICjgSVxpeurHZgItNlceHF7c0juYAd0FYhdejN-kQTEJ/s3024/photostudio_1705998612319.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQ2c1tmFn6fkmNMdtumRgf1C1ul_uMgRwvc2i2CKFoVtDGHkSL7Syc7jwhySVr_tSlny0-VR1j1b03zjiSqLCP3dNWea_9aZUuanfB-rrG0TNFuurQyYvlao8ZNiw1dGV1EVTUOt7Z411l4gw3ICjgSVxpeurHZgItNlceHF7c0juYAd0FYhdejN-kQTEJ/s320/photostudio_1705998612319.jpg" width="320"></a></div>Ruth Fielding orpheline,</i></h3>Alice B. Emerson,<br>Ed. Novel, 2024<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i>Nous sommes en 1913, dans un petit village aux États-Unis : Ruth Fielding, orpheline sans le sou, est recueillie par un oncle avare et froid.</i></p><p><i>La jeune fille a une ambition secrète : faire du cinéma ! Mais pour réaliser ses rêves, elle ne pourra compter que sur elle-même...</i></p><p><i>Écrite à une époque où le cinéma n’était qu’à ses tout débuts, et que les femmes n’occupaient que très rarement des places importantes dans le milieu des affaires, la série Ruth Fielding surprend par sa modernité. Ce n’est pas pour rien qu’elle était souvent bannie des librairies !</i></p><p><br></p><p><u><b>Dealer :</b></u> SP Novel/La Bernique</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture : </h2><p>Quel retour en enfance avec cette nouvelle collection de chez <b>Novel</b>, les <i><b>Vintage Sisters </b></i>! Couverture cartonnée et relief, reliure soignée et texte accompagnée de belles illustrations, à la fois retro et modernes. La forme, déjà, est un travail remarquable !</p><span></span><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/01/ruth-fielding-orpheline.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-50545491861361032742024-01-17T17:58:00.001+01:002024-01-17T17:58:19.781+01:00Les yeux couleur de pluie<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8OIllweoSIl-97jZHTJA_kvaCSoTpe7ySQURcm92d5moUV2F11fFyIp0SGMYqbh4j0rvxOcGJL7NFytkH6CPOyuVeyU7AIvb2lGwH5svYm5dE6rdmUqLpK7IjT8Lm_YnVibU7PlN3VCvT-onPkvofnGWCOAeoI7lngLat0_Dw1iwAPaRCMMmVCjM6_AWF/s3024/photostudio_1705416637598.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8OIllweoSIl-97jZHTJA_kvaCSoTpe7ySQURcm92d5moUV2F11fFyIp0SGMYqbh4j0rvxOcGJL7NFytkH6CPOyuVeyU7AIvb2lGwH5svYm5dE6rdmUqLpK7IjT8Lm_YnVibU7PlN3VCvT-onPkvofnGWCOAeoI7lngLat0_Dw1iwAPaRCMMmVCjM6_AWF/s320/photostudio_1705416637598.jpg" width="320" /></a></div><h3 style="text-align: left;"><i>Les yeux couleur de pluie</i>,</h3>Sophie Tal Men,<br />Ed. Albin Michel, 2016<p></p><p><br /></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;">Étudiante en médecine, Marie-Lou est, du jour au lendemain, affectée à Brest. Autant dire le bout du monde pour celle qui n’a jamais quitté sa Grenoble natale. Une nouvelle existence commence alors pour elle, loin des siens, de ses montagnes : il va falloir s’habituer au climat, à la région, à la collocation, aux collègues… Surtout, c’est l'insouciance et la légèreté de ses vingt-cinq ans qui vont être confrontées à la dure réalité du monde hospitalier. Une nuit, elle croisera Matthieu, interne en ORL. Ce loup solitaire, mystérieux et poétique, arrivera-t-il à lui faire une place dans sa vie ?</span><br style="-webkit-font-smoothing: antialiased; -webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); background-color: white; box-sizing: border-box; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif; margin: 0px; padding: 0px; text-rendering: auto;" /><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;">Rencontres, passions, non-dits, péripéties drôles ou dramatiques… un plaisir de lecture, un roman sensible et plein de fraîcheur qu'on ne lâche pas.</span></i></p><p><i><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;"><br /></span></i></p><p><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;"><u><b>Dealer :</b></u> Bibliothèque de Sibiril</span></p><p><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;"><br /></span></p><h2 style="text-align: left;"><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;">Ma lecture : </span></h2><p><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;">Je n'avais jamais lu <b>Sophie Tal Men</b>, alors ma copine Tiphanie m'a poussée à sauter le pas...</span></p><p><span style="background-color: white;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: Roboto Slab, serif;"><i><b>Les yeux couleur de pluie </b></i>se déroule à Brest, entre les rues Jean Jaurès et de Siam et l'hôpital de la Cavale Blanche. Forcément, pour la finistérienne chauvine que je suis, c'est un bon point non négligeable. J'ai meme failli danser une gavotte en chaussons pilou devant le poèle.<br />Bref.</span></span></p><p><span style="background-color: white;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: Roboto Slab, serif;">Le verdict vient de tomber pour la savoyarde Marie-Lou : elle fera son internat au service neurologie de Brest. Adieu les montages et les fondues fromagères, bonjour l'air marin et le kig ha farz (cette spécialité locale a même droit à son chapitre !). A peine sa blouse enfilée que la jeune fille tombe sous la sympathie de sa colocataire Anna et sous le charme de son cousin Matthieu...<br />Nous voilà clairement dans une romance hospitalière aux parfums iodés. Dit comme ça, c'est plutôt chouette. D'ailleurs, la lecture n'est pas désagréable, de la même façon que dans les séries <i>Urgences </i>ou <i>Grey's Anatomy</i>, on découvre l'envers du décor des hôpitaux : les gardes, les diagnostics, les rivalités, l'empathie nécessaire et parfois cruelle, les soirées "étudiantes", ... M</span></span><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;">ais Marie-Lou m'a un peu agacée avec son ciré jaune typique des touristes égarés en Bretagne. Je n'ai pas été convaincue par son histoire d'amour avec Matthieu, trop frileuse en émotions.</span></p><p><span style="background-color: white;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: Roboto Slab, serif;">Ce que j'ai malgré tout adoré :<br />Le poème <i>Barbara</i> de Prévert en guise d'épigraphe, les tics de langage finistériens comme "Mignonne", le kig ha farz. Respirez, vous êtes à Brest, ici !</span></span></p><p>Bref, un roman gentillet qui ouvre les portes des hôpitaux et présente une belle palette de soignants. Mais je m'attendais à un peu plus de... sel ? Le bon sel breton qui ravive le ciel gris, qui exhauste la galette complète. Dommage ! <br /><br /></p><p><br /></p>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-56262044077139037092024-01-15T14:45:00.001+01:002024-01-15T15:13:25.649+01:00Le joueur d'échecs<h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEji5UJzTnW6QqWqBrbNsIAOkjKnoaiBDdVK4Xaz8DroSM9C4L5kt91UIx0dwHb6fXI2s_8Ke1ONeKfD20ykNsMcGp7bgUIrwPVyIWj0Z2o_E5k7W2c2pZ-wDwkI7l9NJQHCe0oE_PQR-eiDPAl3nlGo4tlnz4mOLhxkEG9A9KZ6XCWAuzscUYz_4q6k_X-2/s2843/photostudio_1705312339096.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2843" data-original-width="2843" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEji5UJzTnW6QqWqBrbNsIAOkjKnoaiBDdVK4Xaz8DroSM9C4L5kt91UIx0dwHb6fXI2s_8Ke1ONeKfD20ykNsMcGp7bgUIrwPVyIWj0Z2o_E5k7W2c2pZ-wDwkI7l9NJQHCe0oE_PQR-eiDPAl3nlGo4tlnz4mOLhxkEG9A9KZ6XCWAuzscUYz_4q6k_X-2/s320/photostudio_1705312339096.jpg" width="320"></a></div>Le joueur d'échecs,</i></h3>Stefan Zweig,<br>Ed. Delachaux & Niestlé, 1944<br>(Ed. Stock, 1981)<div><br></div><div><br></div><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><div><br></div><div><div><i>Czentowic, champion d'échecs arrogant, esprit borné à outrance, inculte et étonnamment stupide, occupe le premier plan jusqu'à l'entrée en scène de Monsieur B. Dès lors que cet aristocrate autrichien s'intéresse à la partie livrée entre le champion et les passagers amateurs, la direction du texte bascule.</i></div><div><i>Par un effet de symétrie, la narration se transforme en un face à face tendu entre un esprit brillant et rapide à l'intelligence abstraite et un cerveau au pragmatisme brutal, incapable de projection véritable. Mise en scène percutante de la résurrection de la folie, cette nouvelle oscille entre ouverture et enfermement.</i></div><div><i>Dans cette avancée implacable de la stupidité destructrice, allégorie de la victoire du nazisme mais aussi chef-d’œuvre de composition, Zweig s'intéresse peu à la survie du corps, préférant montrer les réactions de l'esprit, qui trouve un symbole parfait dans ce jeu éminemment intelligent mais désespérément stérile.</i></div><div><i>Publié en 1943, un an après le suicide de son auteur, Le Joueur d'échecs fait figure de testament dans l’œuvre de Zweig.</i></div></div><div><br></div><div><br></div><div><u><b>Dealer :</b></u> <i>Librairie de la cité</i>, Landerneau</div><div><br></div><h3 style="text-align: left;"><u>Ma lecture : </u></h3><div><br></div><div><b><i>Le joueur d'échecs</i></b> était un livre imposé pour mon bac littéraire. La définition pure du classique, donc. Mon exemplaire comporte encore quelques annotations illisibles, écrites au crayon gris. Je me souviens l'avoir beaucoup aimé. <span><a name="more"></a>Sur le pont d'un paquebot à destination de l'Argentine, une partie d'échecs se dispute. Pas n'importe laquelle puisqu'elle oppose le champion mondial Czentovic et deux touristes amateurs. Sans un sourire, sans un mot, le champion avance en fin stratège, pièce par pièce. Puis un autre touriste s'en mêle, propose un coup, et la partie se corse. Le champion perd de son aplomb. La partie est nulle. En veine, le troisième larron, Monsieur B., propose une autre partie.<br><br>Et la question, alors, se pose : qui est Monsieur B. ? Il n'a, prétend-il, pas touché un échiquier depuis près de vingt ans. Mais en racontant son histoire au narrateur, on découvre qu'il a été enfermé par la Gestapo, sans livre, sans personne à qui parler. Un jour, il subtilise un manuel d'échecs et rejoue les parties mentalement. C'est une centaine de parties de grands maîtres qu'il rejoue inlassablement. Cela devient son passe-temps. Son obsession. Sa survie. Sa folie. </span></div><div><span>Cette dernière partie oppose donc le champion froid et stratège Czentovic à l'esprit libre et résistant aux tortures de la Gestapo de Monsieur B. Nous sommes en 1942, la veille du jour où Zweig se donnera la mort à Petropolis, au Brésil, acculé par la victoire menaçante du nazisme. L'allégorie est implacable. </span></div><div><span><br></span></div><div><span>En moins de cent pages, Zweig parvient à mettre en place une ambiance tendue autour de la partie d'échecs, à montrer les rouages de l'âme humaine. Il oppose ce champion dénué de toute humanité peint comme un robot formaté uniquement au jeu d'échecs à Monsieur B. que les Nazis ont voulu priver de son humanité et à le faire sombrer dans une sombre folie. Les deux personnages sont finement campés. De loin, assis devant leur échiquier, on pourrait croire à deux dilettantes sur un paquebot. Il n'en est rien. C'est l'âme du monde qui se joue en noir et blanc. Et Zweig a déjà abandonné la partie. Echec au roi.</span></div><div><span><br></span></div><div><span>Vous voulez lire un classique ?</span></div><div><span>Vous lirez un chef d'œuvre !</span></div><div><span>Moins de cent pages et vous serez transportés sur un échiquier où la vie est mise en péril. Zweig a la plume acérée et n'a pas besoin d'en dire trop pour tout dire. </span></div><div><span><br></span></div>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-45800945185490889432024-01-12T14:00:00.002+01:002024-01-12T14:42:54.577+01:00Les flamboyants bleus<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrClPhixlk8SCQ4ZFF4XRRE9wUPNrNzt-JGPkfLQO0pgvZ9F8meQaqajhmnfH9fILVcNTiyJbUABebjp7FVsmazSH0UYwlwKVweq2KZNgPxou4uNIA7AR0zjUnago8qqEfF_BvNHT6DYAUpC3v1qk1AUSIz2Js-rP2oaFTgJQNq5QHBETVwmjQLZ2qPRWC/s2633/photostudio_1704980848088.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2633" data-original-width="2633" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrClPhixlk8SCQ4ZFF4XRRE9wUPNrNzt-JGPkfLQO0pgvZ9F8meQaqajhmnfH9fILVcNTiyJbUABebjp7FVsmazSH0UYwlwKVweq2KZNgPxou4uNIA7AR0zjUnago8qqEfF_BvNHT6DYAUpC3v1qk1AUSIz2Js-rP2oaFTgJQNq5QHBETVwmjQLZ2qPRWC/s320/photostudio_1704980848088.jpg" width="320"></a></div><h3 style="text-align: left;"><i>Les flamboyants bleus,</i></h3>Wendy Nazaré,<br>Ed. Chronica, 2023<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><i><span face=""Amazon Ember", Arial, sans-serif" style="background-color: white; color: #0f1111; font-size: 14px;">« Le jour de la photo de classe, sachant que le cliché serait envoyé à ses parents, Xavier choisit les vêtements avec lesquels il était arrivé à la rentrée. Il enfila sa chemise blanche, son pull en pointe et attacha fièrement le noeud papillon que sa mère lui avait offert.</span><br style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #0f1111; font-family: "Amazon Ember", Arial, sans-serif; font-size: 14px;"><br style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #0f1111; font-family: "Amazon Ember", Arial, sans-serif; font-size: 14px;"><span face=""Amazon Ember", Arial, sans-serif" style="background-color: white; color: #0f1111; font-size: 14px;">Tout le distinguait du groupe, jusqu’à la couleur de sa peau, cela lui sauta aux yeux. Depuis tout petit, il se sentait souvent en décalage avec les autres, sans vraiment comprendre pourquoi. » Xavier, au coeur d’un secret dont il ignore tout, va emprunter un chemin qui va le mener à vivre un destin hors du commun. Pour reconstituer l’histoire de ce petit Xavier, Wendy Nazaré a mené l’enquête autour de ses proches et a écouté cinq cassettes qui lui ont été remises, en 2005, aux funérailles d’un vieil homme dans la région de Lisbonne.</span><br style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #0f1111; font-family: "Amazon Ember", Arial, sans-serif; font-size: 14px;"><br style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #0f1111; font-family: "Amazon Ember", Arial, sans-serif; font-size: 14px;"><span face=""Amazon Ember", Arial, sans-serif" style="background-color: white; color: #0f1111; font-size: 14px;">Des heures et des heures d’écoute d’une voix qui l’émotionne et la transporte dans le passé. Espoirs, déroutes, erreurs et rencontres... Ces petites bandes analogiques dévoilent l’histoire étonnante de Xavier et des secrets de famille qui ricochent de génération en génération.</span><br style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #0f1111; font-family: "Amazon Ember", Arial, sans-serif; font-size: 14px;"><br style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #0f1111; font-family: "Amazon Ember", Arial, sans-serif; font-size: 14px;"><span face=""Amazon Ember", Arial, sans-serif" style="background-color: white; color: #0f1111; font-size: 14px;">Wendy Nazaré nous emmène du nord du Portugal jusqu’en Afrique noire ou au Maghreb, en passant bien sûr par sa Belgique natale et, en particulier, dans le terroir de la cité lainière de Verviers, dans le pays des trois vallées Ourthe Amblève et Vesdre. Un beau voyage dans l’espace et dans le temps, dans la petite et la grande histoire.</span></i></p><p><br></p><p><b><u>Dealer :</u></b> Offert par une copine</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Quand une copine m'a offert ce livre, je ne savais pas à quoi m'attendre. <b>Wendy Nazaré</b>... Vous avez dû entendre sa chanson <b><i>Lisboa </i></b>il y a quelques étés. De la musique à l'écriture, il n'y a qu'une plume.<span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/01/les-flamboyants-bleus.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-72810662310498840852024-01-10T15:19:00.101+01:002024-01-10T15:19:00.141+01:00L'enragé<h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgaHj-t9J56tan7FyyXEQYNzwk7Do5I5I8SB_qCNz7Jugf9IroCs9qvj0dmUNc90U0u_BHbtSdW52OYG_iF3hQ2EsofBgS3utKTvdY8CWsNbPgCyCqiLq0V2UdXbNyr9ex6Jk0a1dFHlazwmfRoPF7vz4aA5hHo1LnfAe7Gr0sCoLRJrvWcHENiFO6qqQIy/s3024/photostudio_1704707218434.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgaHj-t9J56tan7FyyXEQYNzwk7Do5I5I8SB_qCNz7Jugf9IroCs9qvj0dmUNc90U0u_BHbtSdW52OYG_iF3hQ2EsofBgS3utKTvdY8CWsNbPgCyCqiLq0V2UdXbNyr9ex6Jk0a1dFHlazwmfRoPF7vz4aA5hHo1LnfAe7Gr0sCoLRJrvWcHENiFO6qqQIy/s320/photostudio_1704707218434.jpg" width="320"></a></div>L'enragé,</i></h3>Sorj Chalandon,<div>Ed. Grasset, 2023</div><div><br></div><div><br></div><div><br></div><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><div><br></div><div><i><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;">« Je n’ai pas le droit aux sentiments. Les sentiments c’est un océan, tu t’y noies. Pour survivre ici, il faut être en granit. Pas une plainte, pas une larme, pas un cri et aucun regret. Même lorsque tu as peur, même lorsque tu as faim, même lorsque tu as froid, même au seuil de la nuit cellulaire, lorsque l’obscurité dessine le souvenir de ta mère dans un recoin. Rester droit, sec, nuque raide. N’avoir que des poings au bout de tes bras. Tant pis pour les coups, les punitions, les insultes. S’évader les yeux ouverts et marcher victorieux dans le sang des autres, mon tapis rouge. Toujours préférer le loup à l’agneau. »</span><br style="-webkit-font-smoothing: antialiased; -webkit-tap-highlight-color: rgba(0, 0, 0, 0); background-color: white; box-sizing: border-box; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif; margin: 0px; padding: 0px; text-rendering: auto;"><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;">Dans la nuit du 27 août 1934, cinquante-six gamins se révoltent et s’échappent de la colonie pénitentiaire pour mineurs de Belle-Île-en-Mer. Voici ouverte la chasse aux enfants. Tous sont capturés. Tous ? Non : aux premières lueurs de l’aube, un évadé manque à l’appel. Voici son histoire…</span></i></div><div><br></div><div><br></div><div><b><u>Dealer :</u></b> Bibliothèque de Sibiril</div><div><br></div><div><br></div><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><div>Janvier, et je rattrape la Rentrée Littéraire de septembre. Je ne voulais pas passer à côté du dernier roman de <b>Sorj Chalandon</b>, auteur que j'aime beaucoup.</div><span></span><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/01/lenrage.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-63498471316697342192024-01-09T06:00:00.077+01:002024-01-09T06:00:00.142+01:00Vers les lueurs<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9d6oRrK4lZKpC43dMF7F1nRTh_z8He9Mo-TNQDT7kbqUmTI4hYhubXEHac6tGsv_BKOQJAfuUD-MXt3ojbARF4LfC7vr4IEtHXynLdLRR9EVCbqXPl1NX20pWxZP-M5ZhhsWhx2xio1QgAhATXKiPrGNgC1frrSgzN8IO2kxVPsW1U1TrZokBeYUOyzqg/s3024/photostudio_1704273696251.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9d6oRrK4lZKpC43dMF7F1nRTh_z8He9Mo-TNQDT7kbqUmTI4hYhubXEHac6tGsv_BKOQJAfuUD-MXt3ojbARF4LfC7vr4IEtHXynLdLRR9EVCbqXPl1NX20pWxZP-M5ZhhsWhx2xio1QgAhATXKiPrGNgC1frrSgzN8IO2kxVPsW1U1TrZokBeYUOyzqg/s320/photostudio_1704273696251.jpg" width="320"></a></div>Vers les lueurs,</i></h3>Juliette Adam,<br>Ed. Flammarion, 2024<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><div style="text-align: left;"><span style="color: #1b1b1b; font-family: inherit;"><i><span style="background-color: white;">Ils sont cinq. Léo, Alice, Stephan, Camille et Sarah.<br></span><span style="background-color: white;">Aïcha les accueille dans sa maison à l'abri des grands arbres, le temps de mettre en pause leur vie cabossée et de se reconstruire. Très vite, ils vont s'apprivoiser, s'aider, se séduire. Mais lorsque le monde extérieur vient brutalement se rappeler à eux, l'harmonie du groupe est menacée et de lourds secrets refont surface...<br></span><span style="background-color: white;">Un roman choral d'amitié, d'amour et de résilience, porté par l'écriture intense de Juliette Adam.</span></i></span></div><p><br></p><p><b><u>Dealer :</u></b> SP de Juliette Adam</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>Je commence l'année avec la lettre <b>A</b>, comme <b>Juliette Adam</b> et son nouveau roman, plutôt young adult, <b><i>Vers les lueurs</i></b>. <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2024/01/vers-les-lueurs.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-34680508271434797122023-12-30T11:36:00.001+01:002023-12-30T11:36:08.081+01:00La lettre de Noël<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-LXkg0uFkrS6tYsbZKNXXpCEM07GBkrjIcsGSLdq6rHNC2gEfmp8LbeSvh2n7tI2Qk7oXdYHu8zLFgxm5kEcUD9BLe0gCiHPclUUzMCzB4P4Ww0dvpv7W-pBbWSjbHNtOArd63gDXHINbeIs6x9qSxJ1fbQ3T-0CIaW8dcbDzfPjFHwDWL_w14QOKelcY/s3024/photostudio_1703929429805.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-LXkg0uFkrS6tYsbZKNXXpCEM07GBkrjIcsGSLdq6rHNC2gEfmp8LbeSvh2n7tI2Qk7oXdYHu8zLFgxm5kEcUD9BLe0gCiHPclUUzMCzB4P4Ww0dvpv7W-pBbWSjbHNtOArd63gDXHINbeIs6x9qSxJ1fbQ3T-0CIaW8dcbDzfPjFHwDWL_w14QOKelcY/s320/photostudio_1703929429805.jpg" width="320"></a></div>La lettre de Noël,</i></h3>Emily Stone,<br>Ed. Hauteville, 2022<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><div style="text-align: left;"><i><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif; font-size: 14.56px;">Josie Morgan appréhende toujours le mois de décembre. C'est toujours un rappel de la vie qu'elle a perdue, vingt ans plus tôt. Elle éteint toujours la radio quand celle-ci diffuse des airs de Noël. Elle a toujours envie d'arracher la guirlande que sa colocataire persiste à accrocher. Et elle poste toujours une lettre qui ne sera jamais lue. Max Carter ne s'était jamais attendu à se retrouver coincé à Londres à quelques jours de Noël.<br></span></i><i><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif; font-size: 14.56px;">Il ne s'était jamais attendu à ce que ce soit si dur de quitter une femme qu'il connaît à peine. Cela dit, il ne s'était jamais attendu à tomber amoureux. Mais, lors de ce mois de décembre, quand la lettre de Josie l'amène à croiser les pas de Max, cette rencontre accidentelle va changer leurs vies d'une façon incroyable. Et leur histoire ne fait que commencer...</span></i></div><p><br></p><p><u><b>Dealer :</b></u> <i>Cultura</i>, Langueux</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>J'aime beaucoup lire des romans de saison et quand j'ai vu cette couverture sur les étals, j'ai immédiatement été conquise.</p><p>L'histoire se passe à Londres, à quelques jours de Noël dans une ambiance de neige, d'effervescence, de Gin chaud et de patinoire. Vous l'aurez compris, nous sommes clairement dans une romance de Noël.<span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2023/12/la-lettre-de-noel.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1194546724317807992.post-56266714485199381432023-12-25T12:19:00.002+01:002023-12-25T12:19:29.980+01:00Un cœur pour Noël<p></p><h3 style="text-align: left;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw78dn1zOWNSEhFpmLdKWReQRjXJQhTaFUh8aUg_ejtOq16PIMnq65wTktjz_ehhxmCJ0BGo4KCny1dzbGGIyBV_8K20qHqzzQfpKZqvvX8XmdrL916LJ8mNaGRGmj-ar3bbh2-wGeobSR5u412FLmfKJtUGvINhNjvH2fxMysrS_VLUViJhM3Z5ESWA2h/s3024/photostudio_1703229703526.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3024" data-original-width="3024" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw78dn1zOWNSEhFpmLdKWReQRjXJQhTaFUh8aUg_ejtOq16PIMnq65wTktjz_ehhxmCJ0BGo4KCny1dzbGGIyBV_8K20qHqzzQfpKZqvvX8XmdrL916LJ8mNaGRGmj-ar3bbh2-wGeobSR5u412FLmfKJtUGvINhNjvH2fxMysrS_VLUViJhM3Z5ESWA2h/s320/photostudio_1703229703526.jpg" width="320"></a></div>Un cœur pour Noël,</i></h3>Sophie Jomain,<br>Ed. Auzou, 2023<p></p><p><br></p><h3 style="text-align: left;"><u>Mot de l'éditeur :</u></h3><p><b>Romance de l'Avent<br>24 chapitres à ouvrir avant Noël</b><br></p><div style="text-align: left;"><span style="background-color: white; color: #1b1b1b; font-family: "Roboto Slab", serif;"><i>Je m'appelle Avril et j'ai 18 ans. Je suis née avec un trouble au coeur, un coeur défaillant qui aurait pu me tuer. J'ai été transplantée il y a bientôt deux ans ? Alors, tout a changé. Cette année, je vais fêter mon premier Noël dans les Alpes, chez mon père, dans ce corps que j'ai peur d'abîmer. Dans ce corps que j'ai besoin de réveiller... Je suis morte de trouille, mais les miracles sont faits pour qu'on y croie, pas vrai ? Et j'ai peut-être raison d'y croire, car à peine arrivée, je rencontre Augustin, et tout est chamboulé. Ma vie ne fait que commencer.</i></span></div><p></p><p><br></p><p><u><b>Dealer :</b></u> Cultura Langueux</p><p><br></p><h2 style="text-align: left;">Ma lecture :</h2><p>J'ai découvert cette année les romans de l'Avent avec un chapitre à décacheter chaque jour. Et quel plaisir, le matin, au p'tit-déj', quand la maisonnée est encore endormie de m'installer avec un chapitre et un thé ! C'était super chouette ! J'ai réussi à patienter et à me contenter de ma quinzaine de pages quotidienne malgré les cliffhangers de dingue ! <span></span></p><a href="https://bibliza.blogspot.com/2023/12/un-cur-pour-noel.html#more">Poursuivez votre lecture »</a>Biblizahttp://www.blogger.com/profile/08221323671684917023noreply@blogger.com0