mercredi 6 mai 2009

Dans les bois

Dans les bois,
Harlan Coben,
Ed. Belfond, 2008


Mot de l'éditeur :
1985. Paul Copeland est un jeune animateur de camp d'ados. Une nuit, alors qu'il s'est éloigné du camp pour retrouver Lucy, sa petite amie, quatre jeunes disparaissent, dont sa soeur, Camille. Seuls deux corps seront retrouvés. On attribuera la mort des ados à un serial killer qui sévissait dans la région.
Vingt ans plus tard. Paul est devenu procureur. Alors qu'il plaide dans une affaire de viol, il est appelé pour l'identification d'un corps : pour lui, pas de doute possible, il s'agit de Gil Perez, un des garçons qui avaient disparu dans les bois. Pourquoi les parents du jeune homme s'obstinent-ils à nier son identité ? Si Gil était bien vivant pendant ces vingt ans, y a-t-il un espoir pour que Camille le soit aussi ? Que s'est-il réellement passé dans les bois, cette nuit-là ?
Bien décidé à résoudre enfin cette affaire qui le ronge depuis tant d'années, Paul va replonger dans les souvenirs de la nuit qui a fait basculer sa vie…






Du pur Harlan Coben ! Une intrigue bien ficelée, beaucoup de surprises qui tissent le fond de ce roman. J'ai bien aimé, je me suis laissée emporter par l'histoire à découvrir qui avait fait quoi. Un peu déçue par la fin trop facile peut-être. Mais J'ai passé de très bons moments !


Avis des lecteurs:


  1. On ne s'ennuie jamais avec Harlan Coben.


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  2. Je viens tout juste de le terminé, j'ai adoré ! Enfin une lecture plaisante !

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  3. Je n'ai pas encore lu tous les Coben (ça va venir). Ca me plait bien mais sans plus. Disons que ce n'est pas mon auteur préféré bien que je le lis avec plaisir.

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  4. Tiens, il est dans ma PAL, lui aussi, je l'ai trouvé à un prix ridiculement bas dans une brocante (et il est tout neuf !)...donc forcément, j'ai craqué. Ce sera peut-être ma prochaine lecture. Ou pas. Quand on a une PAL qui rivalise avec la Tour Eiffel, on a toujours du mal à pronostiquer ce genre de choses...

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  5. Un bon point dans celui-là Myron Bolitar est absent. Je trouve que les romans écrits sans son héros récurrent sont plus captivants que les autres.

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