La révolte des accents,
Erik Orsenna,
Ed. Stock, 2007
Mot de l'éditeur :
Une jonque qui transporte une troupe de comédiens accoste un jour dans l’île où vivent nos amis Jeanne, son frère Thomas, M. Henri… Le soir-même, ils jouent "Roméo et Juliette", faisant rêver d’amour tous les habitants de l’île. Le lendemain, stupeur ! la jonque est partie. Elle a emporté avec elle les accents et les épices. L’île découvre alors comme la vie est morne sans eux. Comment avaler, jour après jour, du riz sans safran ? Comment s’émouvoir ou s’émerveiller s’il n’y a plus d’accent aigu sur le e ? Jeanne décide de partir à leur recherche, d’autant plus que son frère s’est embarqué avec la troupe pour travailler comme souffleur. Son périple va la mener jusqu’en Inde, dans une vallée magique où se réunissent chaque année des comédiens du monde entier pour un festival secret de théâtre et d’épices. Ne viendraient-ils pas là pour se faire épicer ? Mais les accents se sont installés plus haut, sur les contreforts de l’Himalaya. Elle a retrouvé Thomas, qui mènera l’expédition jusqu’à la villégiature des accents, où se rassemblent régulièrement tous les accents du monde. Sur ces hauteurs, Jeanne va commencer à découvrir ce que c’est qu’aimer : accentuer sa vie. Elle poursuivra cette exploration dans le prochain livre qui traitera, avec un chef d’orchestre, de la ponctuation.
Ce roman est la suite des Chevaliers du subjontif. Cette fois-ci, l'archipel vit un drame : épices et accents ont disparus ! Ces deux éléments culinaires et linguistiques semblaient accessoires... Pourtant, que serait la cuisine sans sel, poivre, curry, basilic, ... ? Que seraient les rêves ou l'été sans leurs accents ?
Encore une belle aventure à la découverte et à la pêche aux accents ! Et ce roman tombe quand même au bon moment, car il est vrai que les accents sont en moins utilisés, autant à l'écrit qu'à l'oral. Les sons sont de moins en moins distincts, les accents sont souvent noyés.
Pour terminer, je ferai le même commentaire que pour les deux premiers volumes : à lire autant pour les amoureux que pour les révoltés de la langue française !
Et...n"oubliez pas les accents ! :p
Erik Orsenna,
Ed. Stock, 2007
Mot de l'éditeur :
Une jonque qui transporte une troupe de comédiens accoste un jour dans l’île où vivent nos amis Jeanne, son frère Thomas, M. Henri… Le soir-même, ils jouent "Roméo et Juliette", faisant rêver d’amour tous les habitants de l’île. Le lendemain, stupeur ! la jonque est partie. Elle a emporté avec elle les accents et les épices. L’île découvre alors comme la vie est morne sans eux. Comment avaler, jour après jour, du riz sans safran ? Comment s’émouvoir ou s’émerveiller s’il n’y a plus d’accent aigu sur le e ? Jeanne décide de partir à leur recherche, d’autant plus que son frère s’est embarqué avec la troupe pour travailler comme souffleur. Son périple va la mener jusqu’en Inde, dans une vallée magique où se réunissent chaque année des comédiens du monde entier pour un festival secret de théâtre et d’épices. Ne viendraient-ils pas là pour se faire épicer ? Mais les accents se sont installés plus haut, sur les contreforts de l’Himalaya. Elle a retrouvé Thomas, qui mènera l’expédition jusqu’à la villégiature des accents, où se rassemblent régulièrement tous les accents du monde. Sur ces hauteurs, Jeanne va commencer à découvrir ce que c’est qu’aimer : accentuer sa vie. Elle poursuivra cette exploration dans le prochain livre qui traitera, avec un chef d’orchestre, de la ponctuation.
Ce roman est la suite des Chevaliers du subjontif. Cette fois-ci, l'archipel vit un drame : épices et accents ont disparus ! Ces deux éléments culinaires et linguistiques semblaient accessoires... Pourtant, que serait la cuisine sans sel, poivre, curry, basilic, ... ? Que seraient les rêves ou l'été sans leurs accents ?
Encore une belle aventure à la découverte et à la pêche aux accents ! Et ce roman tombe quand même au bon moment, car il est vrai que les accents sont en moins utilisés, autant à l'écrit qu'à l'oral. Les sons sont de moins en moins distincts, les accents sont souvent noyés.
Pour terminer, je ferai le même commentaire que pour les deux premiers volumes : à lire autant pour les amoureux que pour les révoltés de la langue française !
Et...n"oubliez pas les accents ! :p
J'avais bien apprécié "La grammaire est...". Je n'ai pas du tout accroché à celui-ci!
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