Les racines du mal,
Maurice G. Dantec,
Ed. Gallimard, 2002
Mot de l'éditeur :
« Andreas Schaltzmann s'est mis à tuer parce que son estomac pourrissait.
Le phénomène n'était pas isolé, tant s'en faut : cela faisait longtemps que les ondes cosmiques émises par les Aliens faisaient changer ses organes de place, depuis que les nazis et les habitants de Vega s'étaient installés dans son quartier. »
Andreas est un tueur et il le sait, mais quand on cherche à lui coller sur le dos des crimes qu'il n'a pas commis, du fond de sa clinique, il hurle. »
L'avis de la Fnac :
Andreas Schaltzmann en a la certitude : depuis des années, les nazis et les habitants de Vega se sont installés dans son quartier, et il existe des camps de concentration déguisés en cités de transit, comme les H.L.M. ou Horizontaux Logements Mortels. Pire encore, le complot des Créatures de l’Espace étend ses ramifications destructrices jusqu’aux plus hauts arcanes de l’État. Andreas, qui porte depuis quelque temps une casquette de base-ball afin de se protéger des rayonnements psychiques, n’a qu’une issue : entrer en résistance. Lorsqu’il est arrêté, les spécialistes s’interrogent : est-il vraiment l’auteur de la totalité des crimes qui lui sont attribués ? Est-ce de la science-fiction ou du polar ? Deuxième roman du très controversé Maurice G. Dantec, Les Racines du mal renouvellent astucieusement le thème du serial killer en mélangeant thriller, psychanalyse, sociologie et science-fiction.
C'est un roman très particulier. L'univers de Dantec n'est pas tendre ! On suit la vie d'un tueur en série. Mais pas seulement. Se mêle à cela, des allusions au Nazisme, à de la SF, ... On se retrouve dans un univers très dense ce qui le rend philosophique et profond. Il prend aux tripes ! Et, paradoxalement, on s'attache à ce tueur, on finit par croire que, non, ce n'est pas lui l'auteur de tous ces crimes sordides !
C'est vraiment difficile à résumer tant l'histoire et la psychologie du personnage sont complexes.
A essayer, quand même, ça vaut le détour !
Maurice G. Dantec,
Ed. Gallimard, 2002
Mot de l'éditeur :
« Andreas Schaltzmann s'est mis à tuer parce que son estomac pourrissait.
Le phénomène n'était pas isolé, tant s'en faut : cela faisait longtemps que les ondes cosmiques émises par les Aliens faisaient changer ses organes de place, depuis que les nazis et les habitants de Vega s'étaient installés dans son quartier. »
Andreas est un tueur et il le sait, mais quand on cherche à lui coller sur le dos des crimes qu'il n'a pas commis, du fond de sa clinique, il hurle. »
L'avis de la Fnac :
Andreas Schaltzmann en a la certitude : depuis des années, les nazis et les habitants de Vega se sont installés dans son quartier, et il existe des camps de concentration déguisés en cités de transit, comme les H.L.M. ou Horizontaux Logements Mortels. Pire encore, le complot des Créatures de l’Espace étend ses ramifications destructrices jusqu’aux plus hauts arcanes de l’État. Andreas, qui porte depuis quelque temps une casquette de base-ball afin de se protéger des rayonnements psychiques, n’a qu’une issue : entrer en résistance. Lorsqu’il est arrêté, les spécialistes s’interrogent : est-il vraiment l’auteur de la totalité des crimes qui lui sont attribués ? Est-ce de la science-fiction ou du polar ? Deuxième roman du très controversé Maurice G. Dantec, Les Racines du mal renouvellent astucieusement le thème du serial killer en mélangeant thriller, psychanalyse, sociologie et science-fiction.
C'est un roman très particulier. L'univers de Dantec n'est pas tendre ! On suit la vie d'un tueur en série. Mais pas seulement. Se mêle à cela, des allusions au Nazisme, à de la SF, ... On se retrouve dans un univers très dense ce qui le rend philosophique et profond. Il prend aux tripes ! Et, paradoxalement, on s'attache à ce tueur, on finit par croire que, non, ce n'est pas lui l'auteur de tous ces crimes sordides !
C'est vraiment difficile à résumer tant l'histoire et la psychologie du personnage sont complexes.
A essayer, quand même, ça vaut le détour !
Avis des lecteurs:
Et vous, qu'en pensez-vous ?