A Mélie sans mélo,
Barbara Constantine,
Ed. Calmann-Levy, 2008
Mot de l'éditeur :
Mélie, soixante-douze ans, vit seule à la campagne. Sa petite-fille, Clara, vient pour la première fois passer toutes les vacances d’été chez elle. La veille de son arrivée, Mélie apprend qu’elle a un problème de santé… Elle verra ça plus tard. La priorité, c’est sa Clarinette chérie !
Mélie, le mélo, c’est pas son truc. Elle va passer l’été (le dernier ?) à fabriquer des souvenirs à Clara. Des rigolos. Comme regarder pousser les bambous en écoutant La Traviata, chanter sous la pluie des chansons de Nougaro, goûter les mauvaises herbes qui poussent le long des chemins. Il y a aussi… le vieux Marcel, qui va apprendre à Clara à faire de la mécanique, Fanette, sa mère, qui va lui trouver un beau-père, Bello, son parrain, qui va agrandir sa bande de filleuls musiciens. Et puis, comme la vie est vraiment dingue des fois, il y a Mélie qui va enfin rencontrer le grand amour… Cent cinquante ans à eux deux ? Mais quand on aime, on ne compte pas !
J'ai découvert avec beaucoup de plaisir l'univers de Barbara Constantine avec Allumer le chat. Dans ce second roman, on fait connaissance avec Mélie et Clara, grand-mère et petite-fille, qui vont passer les deux mois d'été ensemble. Autour d'elles virevoltent leurs amis respectifs : Marcel, Pépé, Antoine, Gérard, mais aussi la mère de Clara (et donc fille de Mélie), Fanette. La veille d'accueillir Clara, Mélie reçoit des analyses médicales : elle ne veut pas les lire avant la fin des vacances, pour en profiter à fond, faire comme si tout allait bien. Ces vacances seront mémorables pour tous !
Et le lecteur s'amuse de voir s'animer ce bonheur !
RépondreSupprimerTout le monde parle de cette auteure ces temps ci, notamment avec la sortie de son dernier "Et puis Paulette". Et je n'ai toujours rien lu d'elle. Il faut que je me réveille !
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé ce livre, le premier de Barbara Constantine que j'ai découvert. Prochainement, je lirai "Allumer le chat".
Bonne soirée !
RépondreSupprimerIl a l'aire aussi bien qu'allumer le chat que j'ai beaucoup apprécié.