La fascination du pire,
Florian Zeller,
Ed.Flammarion, 2004
L'avis de la Fnac :
Journaliste littéraire et romancier, Florian Zeller, à seulement 25 ans, est déjà l’auteur de trois romans, Neiges artificielles, Les Amants du n’importe quoi, et La Fascination du pire, son nouvel opus, en lice pour le prix Goncourt (et donc pour le prix Goncourt des Lycéens). Traversé par le souvenir du voyage en Egypte que fit Gustave Flaubert en compagnie de son ami Maxime Du Camp, Florian Zeller envoie ici deux personnages à la découverte du Caire. Loin de l’esthétisation sensuelle des femmes orientales à laquelle procéda l’ermite du Croisset, les deux compères – le narrateur et un écrivain flaubertien, Martin Millet – vont prendre en pleine face ce qu’ils considèrent être le fléau de cette région du monde : l’asphyxie sexuelle engendrée par un islam intransigeant.
Quoi, en Orient pas de femmes libérées, seulement des voiles, des voiles et encore des voiles, bref, des corps interdits à l’amour croulant sous le poids des tabous religieux, qui entravent la liberté du désir ? Les deux lettrés décident d’en savoir plus. D’aventures en aventures, ils vont faire l’expérience d’un Caire interlope et tester les possibilités de la sexualité des femmes cairotes.
Le bilan de ce tourisme érotique et littéraire ? De retour en France, Millet sort un livre où il attaque frontalement la frustration sexuelle dont il a été le témoin. Bingo… Un procès lui tombe dessus (on pense à Houellebecq) et il va devenir bien vite la cible d’une fatwa (on pense à Salman Rushdie). Moralité : il y a des choses dont on ne parle pas et qui se font en silence…
Avec ce roman, on ne sait pas vraiment où l'on va. Mais on suit les pérégrinations du narrateur et de son collègue Martin de passage en Egypte pour un salon du livre. La narration se ponctue de passages plus théoriques sur l'Ocident et ses différences, ses incompatibilités avec l'Islam.
Une lecture assez déroutante mais non désagréable. Il m'est assez difficile d'en dire plus, tout est là.
Je suis contente d'avoir découvert ce jeune auteur, merci Géraldine !
Florian Zeller,
Ed.Flammarion, 2004
L'avis de la Fnac :
Journaliste littéraire et romancier, Florian Zeller, à seulement 25 ans, est déjà l’auteur de trois romans, Neiges artificielles, Les Amants du n’importe quoi, et La Fascination du pire, son nouvel opus, en lice pour le prix Goncourt (et donc pour le prix Goncourt des Lycéens). Traversé par le souvenir du voyage en Egypte que fit Gustave Flaubert en compagnie de son ami Maxime Du Camp, Florian Zeller envoie ici deux personnages à la découverte du Caire. Loin de l’esthétisation sensuelle des femmes orientales à laquelle procéda l’ermite du Croisset, les deux compères – le narrateur et un écrivain flaubertien, Martin Millet – vont prendre en pleine face ce qu’ils considèrent être le fléau de cette région du monde : l’asphyxie sexuelle engendrée par un islam intransigeant.
Quoi, en Orient pas de femmes libérées, seulement des voiles, des voiles et encore des voiles, bref, des corps interdits à l’amour croulant sous le poids des tabous religieux, qui entravent la liberté du désir ? Les deux lettrés décident d’en savoir plus. D’aventures en aventures, ils vont faire l’expérience d’un Caire interlope et tester les possibilités de la sexualité des femmes cairotes.
Le bilan de ce tourisme érotique et littéraire ? De retour en France, Millet sort un livre où il attaque frontalement la frustration sexuelle dont il a été le témoin. Bingo… Un procès lui tombe dessus (on pense à Houellebecq) et il va devenir bien vite la cible d’une fatwa (on pense à Salman Rushdie). Moralité : il y a des choses dont on ne parle pas et qui se font en silence…
Avec ce roman, on ne sait pas vraiment où l'on va. Mais on suit les pérégrinations du narrateur et de son collègue Martin de passage en Egypte pour un salon du livre. La narration se ponctue de passages plus théoriques sur l'Ocident et ses différences, ses incompatibilités avec l'Islam.
Une lecture assez déroutante mais non désagréable. Il m'est assez difficile d'en dire plus, tout est là.
Je suis contente d'avoir découvert ce jeune auteur, merci Géraldine !
Du même auteur il y a "Julien Parme" j'en ai fait un billet l'an dernier sur mon blog. C'est une lecture très agréable, lis le et tu ne seras pas déçue.Bonne journée
RépondreSupprimersympa le blog
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJe soumets mon roman à votre critique.
https://www.zizole.blogs.psychologies.com/EUPHRASIUM
"Emma ou la rage de vivre"
Editions Amalthée.
Référencement en cours. Pour ceux qui le désirent: commande possible déjà à la FNAC.
Voir lien ci-dessous.
http://livre.fnac.com/a2620536/E-Calmont-Emma-ou-la-rage-de-vivre?OriginClick=yes
http://www.fnac.com/redir/emailing.asp?PRID=2620536
« Ils disposaient d’eau et d’une étendue de terre. De quoi avaient-ils besoin d’autre pour vivre ? Mais rien, absolument rien pour le moment. »
Emma à neuf ans. Avec ses joies et ses questionnements sur la vie, elle mène une existence au cœur d’une rizerie, en compagnie de ses camarades. De l’école à l’église, sans oublier les fêtes au village, camaraderie, amitié, solidarité, combativité dans le respect sont peintes comme des armes inoffensives et indispensables au bonheur ! Emma ou la rage de vivre s’ouvre sur un hommage aux ancêtres. Dans cet ouvrage, humanisme et optimisme sont mis en valeur , il s’agit d’une véritable philosophie de la vie.
Résumé:
Le passé dessine les contours du futur. Ainsi l’histoire ici racontée dans Emma ou la rage de vivre s’ouvre-t-elle sur un hommage aux ancêtres. En 1624, un groupe d’hommes, fuyant des guerres, s’élance à la recherche de terre pour construire un village de paix et d’unité.
De ces ancêtres audacieux et acteurs de leur vie, naît Emma dix-sept générations plus tard. Héritière de ce passé de braves hommes, dotée d’une curiosité à toute épreuve, Emma nous est présentée dans sa relation à la vie. Emma et ses camarades s’approprient le monde des adultes et évoluent à leur aise. A la rizerie, aux fêtes du village, au bal des collégiens, au marché, à l’école, dans les grands événements de la vie telles la maladie, la mort, Emma et ses amis sont sous nos yeux, toujours comme des acteurs selon leur degré de compréhension. Rien ne les freine. Dans leur monde, on peut parler même aux oiseaux. Oui, tout devient possible avec Emma et ses camarades. Les pluies diluviennes qui les gardent à l’école pour une nuit sans crier garde, donnent lieu à des mises en scène de joie. Et tous sont entraînés dans de tels élans quelles que soient les circonstances.
Des enfants, mais des enfants tout à fait raisonnables comme des adultes, on dirait. Emma nous mène dans un monde d’éveil et émerveillement en toute chose. Et la curiosité, l’amitié, l’émulation, la joie, le respect de l’autre … donnent accès au bonheur immédiat. L’émerveillement et la curiosité qui animent ces enfants semblent prolonger ce bonheur dans le futur. En cela, Emma ou la rage de vivre est un ouvrage axé sur l’humanisme et l’optimisme. Les aptitudes à ces valeurs se retrouvent ou en tout cas, sont accessibles aux enfants de tous les pays. Aussi pouvons-nous dire que Emma ou la rage de vivre est un ouvrage résolument tourné vers le futur et sur le monde.
Mais de rien. Y a t-il cette semaine un jour où tu aies quelques heures de pause au taf pour que je t'emmène boire un verre chez moi ???
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