La végétarienne,
Han Kang,
Ed. Le serpent à plumes, 2015
Ed. Livre de poche, 2016
Mot de l'éditeur :
Une nuit, elle se réveille et va au réfrigérateur, qu’elle vide de toute
 la viande qu’il contient. Guidée par son rêve, Yonghye a désormais un 
but : devenir végétale, se perdre dans l’existence lente et inaccessible
 des arbres et des plantes. Ce dépouillement qui devient le sens de sa 
vie, le pouvoir érotique, floral, de sa nudité vont faire voler en 
éclats les règles de la société, dans une lente descente vers la folie 
et l’absolu.
Ma lecture :
Pour le mois d'avril, La végétarienne était le roman qui, d'emblée, m'emballait le moins. Je l'avais donc mis en dessous de la pile. Il est court (212 pages), alors j'ai tenu bon, mais je n'en garde pas un super bon souvenir. Une femme, Yonghye, fait un rêve et au matin, décide de devenir végétarienne. Peu à peu, elle devient végétale et rejette, au péril de ses liens familiaux et sociaux, de sa santé physique et mentale, toute nourriture de provenance animale.
Je ne peux même pas faire un mauvais jeu de mot en disant que ce sont des chinoiseries car l'auteur est coréen.
Le texte en lui-même est bien écrit et parfois poétique, mais je n'ai pas trouvé le sens de cette fable :(
Ceci dit, je n'arrive pas à percer le secret de la littérature asiatique pourtant réputée très belle.
Anne-Laure est mitigée
 


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